Question de Loris sur son personnage PN 9
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J'ai une question à vous poser par rapport à ma prochaine partie de PN. Je joue Guillaume de Merignac, un noble déshonoré au cours de la partie à Paris et finalement condamné à ramer sur les galères. Je vais me diriger vers ma nouvelle affectation mais aimerais fort ne pas mourir à ce poste, donc je viens demander ici comment on s'en tire ?
Guillaume vient d'une famille en plein déclin économique, donc pas de pot de vin pour sortir. Nous sommes en 1702 et partons de Paris pour l'Angleterre, donc vu le nombre de navire militaires aucune chance qu'un pirate n'attaque et nous recrute. J'ai songé à une mutinerie mais à part en trouvant une barre de fer permettant de déloger les points de fixation de nos chaînes c'est coton, je vise néanmoins l'évasion des cinq rameurs de mon rang et peut-être de la rangée de devant et derrière, et compte agir durant une tempête, mais tout conseil et toute astuce pouvant m'aider à cette entreprise serait la bienvenue.
Merci d'avance. ^^ Loris
Si un expert peut lui répondre...
Un petit radeau à la méduse, survie tout ça, obligé de manger un des gars qui était avec vous cinq...
Repêchés aux portes de la mort, en pleine agonie, par un autre bateau passant par là, pas obligatoirement pirate...
Si non, des pirates attaquent alors que vous êtes encore en convalescence et voient en vous le potentiel inhérent aux survivants qui n'ont plus rien à perdre...
Tadaaa...! Comment ça c'est exagérer et pas fort crédible...?
Suis pas un expert...
Houlà oui, pas évident. Il peut tenter de simuler la maladie, mais si les gardes-marines sont vraiment sévère, ils vont juste le jeter par dessus bord au lieu de tenter de le soigner.
Après tout on est quand même dans un jeu, pas une reconstitution historique de thésard (sans que ce soit péjoratif hein, mais PN reste quand même un jeu )
Par contre pour moi bêtement qui dit galère dit principalement Toulon (oué je sais c'est dans les gènes .. parce que Toulon rouuuuuuuuuuuge ! parce que Toulon noiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiir ....) et qui dit Toulon dit Méditerranée.
Une tempête pourrait toujours survenir non loin des côtes, ça arrive et parfois très violemment (c'est bien ce qui a failli emporter la future femme de Louis le Hutin dans les Rois Maudits alors qu'elle faisait le voyage entre l'Italie et les Saintes Maries de la Mer)
Tout ça pour dire que le moyen le plus "plausible" me semble la tempête ou l'attaque d'un navire pirate (et s'il est "barbaresque" c'est bonheur).
Une mutinerie sur une galère c'est quasi voué à l'échec à mon avis, d'une part parce que les galériens sont la plupart du temps enchainés, et que les bancs sont à la vue de tout le monde, y compris de l'équipage et des gardes. Agir discrètement serait quasi impossible.
Une mutinerie sur une galère c'est quasi voué à l'échec à mon avis, d'une part parce que les galériens sont la plupart du temps enchainés, et que les bancs sont à la vue de tout le monde, y compris de l'équipage et des gardes. Agir discrètement serait quasi impossible.Et ils sont enchaînés, fatigués, pas nécessairement courageux, résignés, etc. Pas l'idéal pour monter une mutinerie, ça marche qu'avec les nouveaux venus...
J'ai oublié désarmés... Un bout de bois contre un épée ou un mousquet...
Moi j'aime bien la solution de BismuthC'est clair que la tempête en Méditerranée semble une excellente solution... D'autant plus que j'ai un doute sur la présence de galères au nord d'Avignon après 1700... Je dirais même qu'après 1700, hormis la Réale (la galère royale), il n'y a que très peu de galères encore en activité en Europe, les bagnards sont plutôt envoyés casser des pierres au château d'If ou assimilé (Monte Cristo inside...) !
Après tout on est quand même dans un jeu, pas une reconstitution historique de thésard (sans que ce soit péjoratif hein, mais PN reste quand même un jeu )
Par contre pour moi bêtement qui dit galère dit principalement Toulon (oué je sais c'est dans les gènes .. parce que Toulon rouuuuuuuuuuuge ! parce que Toulon noiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiir ....) et qui dit Toulon dit Méditerranée.
Une tempête pourrait toujours survenir non loin des côtes, ça arrive et parfois très violemment (c'est bien ce qui a failli emporter la future femme de Louis le Hutin dans les Rois Maudits alors qu'elle faisait le voyage entre l'Italie et les Saintes Maries de la Mer)
Tout ça pour dire que le moyen le plus "plausible" me semble la tempête ou l'attaque d'un navire pirate (et s'il est "barbaresque" c'est bonheur).
Une mutinerie sur une galère c'est quasi voué à l'échec à mon avis, d'une part parce que les galériens sont la plupart du temps enchainés, et que les bancs sont à la vue de tout le monde, y compris de l'équipage et des gardes. Agir discrètement serait quasi impossible.
Grand Strateger
Les galères sont encore utilisées, et notamment par la noblesse française qui s'enorgueilli d'avoir une tripotée de rameurs sous leurs ordres. Je peux abandonner l'idée de la maladie car je serai de toute façon condamné à me vider vessie et intestins dessus comme chacun de nous. Heureusement que l'eau de mer passe sur le pont, on dit de ces galères de nobles qu'on les sent bien avant de les voir, c'est dire les chouettes conditions qui m'attendent.
Si une tempête me délivre et que je saute à l'eau j'aurai un gros pépin: comme 97% de la population je ne sais pas nager, et le faire durant une tempête c'est franchement pas une bonne perspective d'avenir. Et si je m'accroche à un morceau de bois en flottaison je peux prier ma bonne étoile (4 en pouvoir ) de ne pas être la cible d'un mousquetaire.
En fait l'idéal serait qu'une tempête détruise toute la galère, mais je ne sais pas si mon MJ va m'offrir ça.
Petite question annexe: je sais qu'en cumulant des flocons d'avoine et en les modelant on obtient une matière aussi solide que du bois, nombre de prisonniers se font des armes avec ça. Le pain jouit-il du même phénomène ? Je le sais terriblement dur mais vu l'humidité si je me fais une arme elle moisira trop vite, m'enfin on ne sait jamais.
En tout cas merci pour vos réflexions ça fait plaisir de ne pas se sentir seul. ^^
Dans une lecture dont je ne rappelle pas, le héros est galérien et sa galère se fait attaquer par une galère ennemie. L'éperon ennemi transperce la coque au niveau de la ligne de flottaison, donc deux mètres sous les bancs de rameurs. Les rameurs sont soulevés, ainsi que la barre à laquelle ils sont liés par les pieds, ce qui permet de se libérer les pieds.
Plusieurs solutions:
1) le garde chiourme est tout près --> un des PJ l'attrappe, l'étrangle et récupère ses clés (pour les mains)
2) si l'aviron est cassé, il est possible de lui envoyer dans les boyaux ou dans le gueule ce qui peut aider pour 1)
3) simuler soit un aviron coincé par une pièce de bois, soit un marin qui s'est affalé ou qui hurle de douleur (risque de se prendre une balle), empêchant le mouvement de l'aviron --> le garde chiourme arrive pour régler le problème et cf 1).
4) lui avoir chipé (Larcins) au moment du choc (précisible soit à la tête des officiers, soit en regardant par le sabord d'aviron)
Je n'avais pas songé à la résistance à la tempête merci de la précision ça fait une piste à oublier.
Les clefs du chiourme ne libèrent que les mains si je comprends bien, on a intérêt à agir vite pour défaire nos pieds. En tout cas merci beaucoup de prendre le temps de réfléchir au problème c'est extrêmement motivant. Mon MJ m'ayant déjà cité le nom de Renaud Maroy je me permets de te transmettre ses salutations.