CR Virgile : Campagne des 5 soleils (spoilers!!) 28
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Nouvelle séance : Eglantine absente. A priori, la joueuse lâche l'affaire.
Les pirates retournent à Basse-Terre. Ils relâchent les prisonniers. Le Capitaine rencontre le Gouverneur et lui revend une bonne partie du butin : les tonneaux de sucre, de rhum et de tabac sont finalement restés dans le repaire, mais De Vercourt indique à Châteaumorand où trouver la planque de Vane.
L'assemblée se réunit pour répartir le butin. De Vercourt explique que trois objets peuvent les mener à des richesses plus importants : le disque, le pectoral, l'épée. Il demande qu'ils soient exclus du partage pour l'instant. Un pirate objecte qu'il vaut mieux profiter ici et maintenant des richesses car la mort les attend peut être d'ici peu. Le Capitaine décrit alors les rues pavées d'or des cités aztéques et fait briller les yeux de l'équipage. Après un vote, les objets sont placés sous la garde conjointe du capitaine et du quartier-maître.
De Vercourt et Ange rachètent à un bon prix les pistolets aux marins qui en ont hérités.
Ils étudient ensuite le nouveau morceau de parchemin et repère le nom de Cosme de Laserma. Le nom leur dit quelque chose mais ils ne souviennent plus de l'histoire. Eglantine (PNJ) leur rappelle le récit du pirate sans nom.
Ils décident de partir vers Anguilla en passant par Porto Rico. Ils veulent utiliser la carte des routes commerciales pour faire des prises.
Ils tombent sur un premier navire espagnol en triste état : il a été piraté il y a quelques jours et repart péniblement vers Porto Rico pour y faire des réparations. Ils l'abordent mais le laisse partir, dépités.
Deux jours plus tard, la vigie apperçoit un brick hollandais qui semble assez insignifiant. Impatients de réaliser un véritable abordage, les deux navires (l'Espadon et le Pélican rebaptisé la Sirène) le prennent en chasse. Un tir d'Ange détruit le gouvernail (on ne change pas une technique qui marche !), mais en continuant la cannonade, ils trouent la coque du brick qui prend l'eau.
L'Espadon tente d'aborder mais l'équipage du Brick réussit une manoeuvre déséspérée pour s'éloigner. De Vercourt insiste et parvient à lancer les grappins. Ses hommes se ruent sur le navire.
Les Hollandais, déjà décimés par les cannonades, se battent becs et ongles. Depuis la Sirène, Ange mouche le capitaine hollandais.
Les pertes sont minimes et vite soignées par Rémy. De Vercourt et Bichon essaye de recruter des Hollandais mais ceux-ci se montrent peu intéressés.
A bord, ils trouvent essentiellement du bois de construction et surtout une caissette de perles.
Ils repartent alors vers Porto Rico.
Bilan : un peu mitigé. Je manquais un peu de patate. J'ai dû improviser les rencontres navales (en m'aidant plus ou moins des tables de Capitaine Vaudou). Il faudrait que je m'en prépare 2/3 sous le coude pour qu'elles soient plus sympas (un courageux pour faire une aide de jeux : des bâteaux à prêts à prendre...?). Le jeu est très axé sur le personnage "équipage" et moins sur les individus. Certains regrettent les dissensions du début. Il faut vraiment que je réimplique le perso de Rémy qui se sent à mon avis un peu le "clerc" du groupe.
Les pirates retournent à Basse-Terre. Ils relâchent les prisonniers. Le Capitaine rencontre le Gouverneur et lui revend une bonne partie du butin : les tonneaux de sucre, de rhum et de tabac sont finalement restés dans le repaire, mais De Vercourt indique à Châteaumorand où trouver la planque de Vane.
L'assemblée se réunit pour répartir le butin. De Vercourt explique que trois objets peuvent les mener à des richesses plus importants : le disque, le pectoral, l'épée. Il demande qu'ils soient exclus du partage pour l'instant. Un pirate objecte qu'il vaut mieux profiter ici et maintenant des richesses car la mort les attend peut être d'ici peu. Le Capitaine décrit alors les rues pavées d'or des cités aztéques et fait briller les yeux de l'équipage. Après un vote, les objets sont placés sous la garde conjointe du capitaine et du quartier-maître.
De Vercourt et Ange rachètent à un bon prix les pistolets aux marins qui en ont hérités.
Ils étudient ensuite le nouveau morceau de parchemin et repère le nom de Cosme de Laserma. Le nom leur dit quelque chose mais ils ne souviennent plus de l'histoire. Eglantine (PNJ) leur rappelle le récit du pirate sans nom.
Ils décident de partir vers Anguilla en passant par Porto Rico. Ils veulent utiliser la carte des routes commerciales pour faire des prises.
Ils tombent sur un premier navire espagnol en triste état : il a été piraté il y a quelques jours et repart péniblement vers Porto Rico pour y faire des réparations. Ils l'abordent mais le laisse partir, dépités.
Deux jours plus tard, la vigie apperçoit un brick hollandais qui semble assez insignifiant. Impatients de réaliser un véritable abordage, les deux navires (l'Espadon et le Pélican rebaptisé la Sirène) le prennent en chasse. Un tir d'Ange détruit le gouvernail (on ne change pas une technique qui marche !), mais en continuant la cannonade, ils trouent la coque du brick qui prend l'eau.
L'Espadon tente d'aborder mais l'équipage du Brick réussit une manoeuvre déséspérée pour s'éloigner. De Vercourt insiste et parvient à lancer les grappins. Ses hommes se ruent sur le navire.
Les Hollandais, déjà décimés par les cannonades, se battent becs et ongles. Depuis la Sirène, Ange mouche le capitaine hollandais.
Les pertes sont minimes et vite soignées par Rémy. De Vercourt et Bichon essaye de recruter des Hollandais mais ceux-ci se montrent peu intéressés.
A bord, ils trouvent essentiellement du bois de construction et surtout une caissette de perles.
Ils repartent alors vers Porto Rico.
Bilan : un peu mitigé. Je manquais un peu de patate. J'ai dû improviser les rencontres navales (en m'aidant plus ou moins des tables de Capitaine Vaudou). Il faudrait que je m'en prépare 2/3 sous le coude pour qu'elles soient plus sympas (un courageux pour faire une aide de jeux : des bâteaux à prêts à prendre...?). Le jeu est très axé sur le personnage "équipage" et moins sur les individus. Certains regrettent les dissensions du début. Il faut vraiment que je réimplique le perso de Rémy qui se sent à mon avis un peu le "clerc" du groupe.
Nouvelle séance : La joueuse d'Eglantine a confirmé l'abandon définitif. Sinon, De Vercourt et Bichon absents.
Ils décident finalement de ne pas passer par Porto Rico mais de continuer vers Anguilla.
Interpelés par le sloop douanier, ils expliquent qu'ils viennent de Saint Domingue et vont chercher une cargaison à la Martinique. Leur cambusier s'étant fait refiler des vivres avariées, ils doivent mouiller à Anguilla pour s'approvisionner. Le bobard fonctionne et on les laisse approcher le port.
Ils se rendent au Sandy Lagoon où ils sympathisent avec le vieux Ben qui leur raconte sa vie et leur file des infos. Ils l'engagent.
Au sortir de la taverne, des soldats les invitent dans la villa du gouverneur. Ce dernier leur explique la situation et demande la tête de Davis. Les PJ rechignent et propose plutôt de porter une seconde demande d'aide à Saint Christophe.
Le lendemain, munis du message, ils partent vers l'Enfer Vert, guidés par le Vieux Ben. Ils découvrent l'épave. Ils descendent une ancre et accroche à la corde un tonneau renversé pour faire cloche d'air. Ange plonge à deux reprises. Elle fouille Cosme et la salle du conseil. Le coffret avec la coiffe est remonté. N'Serenghi plonge à son tour pour explorer la chambre du capitaine mais revient bredouille.
Alors qu'ils s'apprêtent à repartir, des marins pensent voir des squelettes bouger. Un mouvement de panique s'en suit mais tous reprennent vite leurs esprits.
L'Espadon et la Sirène mettent alors le cap vers Saint Christophe. Là, ils retrouvent les hommes d'Howell Davis qui entonnent On the Sea. Le vieux Ben les encourage à reprendre le chant. Les deux équipages se saluent à coup de bordées.
Davis les reçoit. Ils lui proposent une association pour s'emparer d'Anguilla et en faire un repaire pirate. Il accepte de s'associer pour le pillage mais ne voit pas l'interêt de s'enraciner sur ce caillou.
Il leur suggère en définitif de s'associer avec le gouverneur si vraiment ils veulent s'en faire un pied-à-terre (et éviter des pertes inutiles pour un gain minime). Il leur parle du projet de Vane.
Les PJ laissent tomber leur projet concernant Anguilla. Ils se mettent à la recherche de Federico. Ils l'isolent et essayent de lui tirer les vers du nez. Ils tentent de le soudoyer. Federico est paniqué et refuse tout accord. Ils sont interrompus par le quartier maître de Davis qui porte l'affaire devant le conseil. Davis désigne Xabi et Antonio pour le combat à mort. En quelques passes d'arme, Xabi se débarrasse d'Antonio et l'achève. Federico déballe alors son histoire et révèle qu'ils trouveront l'indien Nanire en Martinique.
Ils décident finalement de ne pas passer par Porto Rico mais de continuer vers Anguilla.
Interpelés par le sloop douanier, ils expliquent qu'ils viennent de Saint Domingue et vont chercher une cargaison à la Martinique. Leur cambusier s'étant fait refiler des vivres avariées, ils doivent mouiller à Anguilla pour s'approvisionner. Le bobard fonctionne et on les laisse approcher le port.
Ils se rendent au Sandy Lagoon où ils sympathisent avec le vieux Ben qui leur raconte sa vie et leur file des infos. Ils l'engagent.
Au sortir de la taverne, des soldats les invitent dans la villa du gouverneur. Ce dernier leur explique la situation et demande la tête de Davis. Les PJ rechignent et propose plutôt de porter une seconde demande d'aide à Saint Christophe.
Le lendemain, munis du message, ils partent vers l'Enfer Vert, guidés par le Vieux Ben. Ils découvrent l'épave. Ils descendent une ancre et accroche à la corde un tonneau renversé pour faire cloche d'air. Ange plonge à deux reprises. Elle fouille Cosme et la salle du conseil. Le coffret avec la coiffe est remonté. N'Serenghi plonge à son tour pour explorer la chambre du capitaine mais revient bredouille.
Alors qu'ils s'apprêtent à repartir, des marins pensent voir des squelettes bouger. Un mouvement de panique s'en suit mais tous reprennent vite leurs esprits.
L'Espadon et la Sirène mettent alors le cap vers Saint Christophe. Là, ils retrouvent les hommes d'Howell Davis qui entonnent On the Sea. Le vieux Ben les encourage à reprendre le chant. Les deux équipages se saluent à coup de bordées.
Davis les reçoit. Ils lui proposent une association pour s'emparer d'Anguilla et en faire un repaire pirate. Il accepte de s'associer pour le pillage mais ne voit pas l'interêt de s'enraciner sur ce caillou.
Il leur suggère en définitif de s'associer avec le gouverneur si vraiment ils veulent s'en faire un pied-à-terre (et éviter des pertes inutiles pour un gain minime). Il leur parle du projet de Vane.
Les PJ laissent tomber leur projet concernant Anguilla. Ils se mettent à la recherche de Federico. Ils l'isolent et essayent de lui tirer les vers du nez. Ils tentent de le soudoyer. Federico est paniqué et refuse tout accord. Ils sont interrompus par le quartier maître de Davis qui porte l'affaire devant le conseil. Davis désigne Xabi et Antonio pour le combat à mort. En quelques passes d'arme, Xabi se débarrasse d'Antonio et l'achève. Federico déballe alors son histoire et révèle qu'ils trouveront l'indien Nanire en Martinique.
Séance suivante : Rémy absent.
Les PJ arrive en vue de la Martinique. Ils décident de gagner Saint-Pierre avec la Sirène et de laisser l'Espadon plus loin sur la côte.
Ils découvrent l'effervescence du marché et se scindent en trois groupes.
De Vercourt, N'Serenghi et Bichon, accompagnés d'Eglantine rendent visite au gouverneur. Du fait de la présence de Mlle Gautier, celui-ci les reçoit cordialement et leur explique ses soucis. Les PJ acceptent de chercher des informations sur les disparitions sans négocier de contrepartie pour l'instant. Tout de même, Bichon dérobe un vase. Alors qu'ils traversent le marché, De Vercourt repère un homme qui les observe puis se rapproche de la milice. Les soldats les interpellent et demande à voir de plus près le nègre qui les accompagne. Entre temps, Bichon se glisse derrière Michel le contremaître et lui colle son pistolet dans les reins. Il le convainc de revenir sur sa déclaration. De Vercourt prend à part le meneur des miliciens. Il lui dit qu'ils sortent juste de chez leur ami le gouveneur et lui verse un bon pot-de-vin. Les soldats les laissent en paix. Ils trainent Michel dans une ruelle et empêchent N'Serenghi de le hacher menu. En interrogeant le contremaître, ils apprennent les difficultés actuelles de la plantation Lamarque. Ils le laissent filer en lui promettant une mort longue et douloureuse s'il recroise leur chemin.
Xabi va dans une taverne à soldats près du fort. Il rencontre un homme qui a quelques informations sur sa mère. L'informateur propose à Xabi de rencontrer ce soir un de ses confrères qui en sait plus. Xabi revient en soirée à la taverne et en apprend un peu plus sur le passage de sa mère en Martinique. Il doit encore vérifier à la capitainerie le nom et la destination du navire qui l'a emmenée.
Ange se promène sur le marché et s'informe sur Rondfleur. Elle découvre l'étal aztèque, s'interesse à la tenture et remarque la ressemblance avec le vendeur. Elle explique être à la recherche d'objets aztèques pour le gouverneur de Saint Domingue qui est prêt à payer un bon prix pour leur acquisition. Le vendeur lui parle alors d'un disque en or qu'il possède et qu'il pourra lui montrer le lendemain. Ange décide de faire surveiller l'étal de l'aztèque par quelques hommes. Elle apprend ainsi qu'il loge dans une petite auberge à proximité.
Après s'être regroupé autour d'un bon repas, ils partent à la recherche du prêtre fou, qu'ils trouvent dans une ruelle non loin des quais. Là, il les met en garde contre la plantation Rondfleur. Ange se présente comme un ange venu l'aider à affronter le diable. Le prêtre la prend à part mais se fait percuter par une charette en pleine course. Ils trouvent sur lui une patte de poulet. N'Serenghi rejoint la charette mais se rend vite compte de l'ébriété du conducteur et de l'absence de lien avec le prêtre.
Le lendemain, ils retournent tous voir le vendeur aztèque (après avoir hésité à lui tomber dessus durant la nuit !). Il leur présente son disque et répond à leurs questions sur la religion aztèque.
Les PJ lui montrent la lame récupérée chez Vane. Il leur explique le dessin et les met en garde contre son utilisation. Il propose d'échanger l'épée contre le disque mais les pirates refusent.
Ils préfèrent lui donner la caissette de perles trouvée sur le navire hollandais contre le disque et la tenture. Les PJ proposent à l'indien de joindre leur équipage mais celui-ci refuse poliment mais fermement. Ils lui demandent alors de les contacter par l'intermédiaire des gouverneurs de Saint Domingue ou de la Martinique s'il remet la main sur des objets de cet ordre. Cette proposition est venue après discussion entre pirates : faut-il tuer le vendeur et le piller, le laisser repartir et attaquer son bateau ou s'en faire un allié. Ils optent finalement pour cette solution en se disant qu'il a des capacités à se procurer des objets qu'il peut utiliser pour eux (Dans tout ce passage, je vous passe les blagues sur le mode "Et vous avez des couteaux aztèques ?")
Ils préparent ensuite leur départ pour la plantation Rondfleur et sont attaqués par des tireurs. Seul De Vercourt est touché. Bichon et Ange blessent chacun un homme, N'Serenghi se lance à la poursuite de deux fuyards et Xabi accule un adversaire contre un mur.
N'Serenghi parvient à stopper l'un des hommes et le blesse avec sa hache mais l'autre lui échappe.
Ange achève son adversaire avec la lame aztèque. De Vercourt se rue sur l'homme maîtrisé par Xabi et le transperce de sa rapière. Dégoûté, Xabi se tourne vers le capitaine et essuie sa lame sur lui. Le ton monte entre les deux hommes et De Vercourt interdit à Xabi de revenir sur l'Espadon.
La milice arrive, obtient des explications. Elle emmène l'un des prisonniers et laisse l'autre aux pirates, après une rapide négociation.
Les PJ arrive en vue de la Martinique. Ils décident de gagner Saint-Pierre avec la Sirène et de laisser l'Espadon plus loin sur la côte.
Ils découvrent l'effervescence du marché et se scindent en trois groupes.
De Vercourt, N'Serenghi et Bichon, accompagnés d'Eglantine rendent visite au gouverneur. Du fait de la présence de Mlle Gautier, celui-ci les reçoit cordialement et leur explique ses soucis. Les PJ acceptent de chercher des informations sur les disparitions sans négocier de contrepartie pour l'instant. Tout de même, Bichon dérobe un vase. Alors qu'ils traversent le marché, De Vercourt repère un homme qui les observe puis se rapproche de la milice. Les soldats les interpellent et demande à voir de plus près le nègre qui les accompagne. Entre temps, Bichon se glisse derrière Michel le contremaître et lui colle son pistolet dans les reins. Il le convainc de revenir sur sa déclaration. De Vercourt prend à part le meneur des miliciens. Il lui dit qu'ils sortent juste de chez leur ami le gouveneur et lui verse un bon pot-de-vin. Les soldats les laissent en paix. Ils trainent Michel dans une ruelle et empêchent N'Serenghi de le hacher menu. En interrogeant le contremaître, ils apprennent les difficultés actuelles de la plantation Lamarque. Ils le laissent filer en lui promettant une mort longue et douloureuse s'il recroise leur chemin.
Xabi va dans une taverne à soldats près du fort. Il rencontre un homme qui a quelques informations sur sa mère. L'informateur propose à Xabi de rencontrer ce soir un de ses confrères qui en sait plus. Xabi revient en soirée à la taverne et en apprend un peu plus sur le passage de sa mère en Martinique. Il doit encore vérifier à la capitainerie le nom et la destination du navire qui l'a emmenée.
Ange se promène sur le marché et s'informe sur Rondfleur. Elle découvre l'étal aztèque, s'interesse à la tenture et remarque la ressemblance avec le vendeur. Elle explique être à la recherche d'objets aztèques pour le gouverneur de Saint Domingue qui est prêt à payer un bon prix pour leur acquisition. Le vendeur lui parle alors d'un disque en or qu'il possède et qu'il pourra lui montrer le lendemain. Ange décide de faire surveiller l'étal de l'aztèque par quelques hommes. Elle apprend ainsi qu'il loge dans une petite auberge à proximité.
Après s'être regroupé autour d'un bon repas, ils partent à la recherche du prêtre fou, qu'ils trouvent dans une ruelle non loin des quais. Là, il les met en garde contre la plantation Rondfleur. Ange se présente comme un ange venu l'aider à affronter le diable. Le prêtre la prend à part mais se fait percuter par une charette en pleine course. Ils trouvent sur lui une patte de poulet. N'Serenghi rejoint la charette mais se rend vite compte de l'ébriété du conducteur et de l'absence de lien avec le prêtre.
Le lendemain, ils retournent tous voir le vendeur aztèque (après avoir hésité à lui tomber dessus durant la nuit !). Il leur présente son disque et répond à leurs questions sur la religion aztèque.
Les PJ lui montrent la lame récupérée chez Vane. Il leur explique le dessin et les met en garde contre son utilisation. Il propose d'échanger l'épée contre le disque mais les pirates refusent.
Ils préfèrent lui donner la caissette de perles trouvée sur le navire hollandais contre le disque et la tenture. Les PJ proposent à l'indien de joindre leur équipage mais celui-ci refuse poliment mais fermement. Ils lui demandent alors de les contacter par l'intermédiaire des gouverneurs de Saint Domingue ou de la Martinique s'il remet la main sur des objets de cet ordre. Cette proposition est venue après discussion entre pirates : faut-il tuer le vendeur et le piller, le laisser repartir et attaquer son bateau ou s'en faire un allié. Ils optent finalement pour cette solution en se disant qu'il a des capacités à se procurer des objets qu'il peut utiliser pour eux (Dans tout ce passage, je vous passe les blagues sur le mode "Et vous avez des couteaux aztèques ?")
Ils préparent ensuite leur départ pour la plantation Rondfleur et sont attaqués par des tireurs. Seul De Vercourt est touché. Bichon et Ange blessent chacun un homme, N'Serenghi se lance à la poursuite de deux fuyards et Xabi accule un adversaire contre un mur.
N'Serenghi parvient à stopper l'un des hommes et le blesse avec sa hache mais l'autre lui échappe.
Ange achève son adversaire avec la lame aztèque. De Vercourt se rue sur l'homme maîtrisé par Xabi et le transperce de sa rapière. Dégoûté, Xabi se tourne vers le capitaine et essuie sa lame sur lui. Le ton monte entre les deux hommes et De Vercourt interdit à Xabi de revenir sur l'Espadon.
La milice arrive, obtient des explications. Elle emmène l'un des prisonniers et laisse l'autre aux pirates, après une rapide négociation.
Séance suivante : Ange absent
Xabi va à la capitainerie et obtient les informations qui lui manquent. Les esprits se calment un peu.
Pendant ce temps, le départ pour la plantation s'organise. Rémy rejoint son capitaine et soigne ses blessures. De Vercourt envisage alors d'envoyer des hommes avec N'Serenghi pour observer les lieux. Ce dernier craint une crise de Malaria au milieu des marais et se montre peu enthousiaste.
Finalement l'ensemble des PJ, accompagnés d'une troupe de 70 hommes (!) se met en route à pied vers la plantation.
Arrivé au pont, Xabi, qui marche en éclaireur, traverse pour vérifier la solidité de l'installation. Au moment où il repère le sabotage, il essuie un tir de mousquet en pleine poitrine.
Bichon ordonne aux boucaniers un tir de barrage et se rue avec trois hommes pour aider le Gascon. Parvenus à le rejoindre, ils constatent que les assaillants ont pris la fuite.
Ils arrivent au village où ils sont accueillis par la curiosité des enfants. Un des hommes de main les repère, sort péniblement de son hamac, tente de ramasser son mousquet mais il est stoppé par un tir de boucanier.
De Vercourt fait gratter les marques vaudous trouvées sur les arbres.
La troupe découvre le village et atteint la résidence de Rondfleur. Celui-ci, surpris par une telle troupe, sort pour savoir qui ils sont.
De Vercourt explique qu'ils viennent chercher un Indien et trouver une explication aux disparitions. Il se montre assez vindicatif et accuse Ronfleur de leur avoir tendu une embuscade. Il est irrascible et ne cesse de se plaindre de sa jambe douloureuse. Le planteur se défend vigoureusement des accusations de sorcellerie.
N'Serenghi et Bichon partent dans le village à la rencontre des habitants. Bichon s'adresse aux enfants et devine la conivence du planteur avec la religion vaudou. Il apprend la division du village en deux parties. N'Serenghi demande à parler au houngan et est orienté vers Oudné. Le vieil homme reconnaît la bienveillance de son maître mais laisse entendre que tout n'est pas parfait dans la plantation. Il apprend à N'Serenghi l'existence du livre du père de Rondfleur qui permettra "d'en savoir plus". Il explique qu'il n'est plus le houngan et que c'est maintenant la mambo Tani qui conduit les rituels.
A la résidence, les PJ décrivent à Rondfleur leurs attaquant et le planteur reconnait qu'ils travaillent bien pour lui. Il explique que ses voisins jaloux ont pu payer ses hommes pour monter les pirates contre lui et l'atteindre. Il fait amener Obutu pour avoir des explications. Le contremaître a du mal à se contenir et montre une certaine insolence. Il est emmené à l'écart par Rémy qui l'interroge. Obutu révèle avoir agit d'après une prophétie d'Oudné.
Ronfleur apprend aux PJ le départ de Nanire.
Revenu du village, Bichon apprend que Tani est la servante de Ronfleur. Elle est amenée avec son maître et Obutu dans le salon, où ils se retrouvent de plus en plus prisonniers des pirates.
Bichon fouille la maison à la recherche du livre. Il découvre la pièce avec le cercueil, la poupée vaudou, les tableaux et n'entre pas dans un premier temps dans la pièce condamnée. Il revient dans le salon et Ronfleur justifie le cercueil (la veillée de son père) et la poupée (il faut bien se protéger des dangereux voisins).
Le gabier trouve des hommes forts et défonce la porte de l'étage. Il découvre les symboles vaudous ainsi que le papier mentionnant un loup-garou. Ronfleur se défend en disant qu'il s'agit de superstitions. Tête de Pioche fait remarqué qu'une telle explication venant d'un planteur qui n'a pas de chapelle, et dont les esclaves ne sont pas des bons chrétiens ne semble pas très crédible...
Xabi fouille la bibliothèque, et répère l'anomalie architecturale. Bichon actionne le mécanisme.
N'Serenghi amène Oudné qui confirme qu'il a vu leur venue et que les Guédés vont déverser des torrents de sang sur le village. De Vercourt somme Ronfleur de dire la vérité. Le planteur l'informe que l'indien a converti une partie du village à la religion aztèque. Insatisfait, De Vercourt abat Oudné.
A ce moment là, Xabi pénètre dans la salon, le livre ouvert à la dernière page, portant le nom d'Oudné...
Xabi va à la capitainerie et obtient les informations qui lui manquent. Les esprits se calment un peu.
Pendant ce temps, le départ pour la plantation s'organise. Rémy rejoint son capitaine et soigne ses blessures. De Vercourt envisage alors d'envoyer des hommes avec N'Serenghi pour observer les lieux. Ce dernier craint une crise de Malaria au milieu des marais et se montre peu enthousiaste.
Finalement l'ensemble des PJ, accompagnés d'une troupe de 70 hommes (!) se met en route à pied vers la plantation.
Arrivé au pont, Xabi, qui marche en éclaireur, traverse pour vérifier la solidité de l'installation. Au moment où il repère le sabotage, il essuie un tir de mousquet en pleine poitrine.
Bichon ordonne aux boucaniers un tir de barrage et se rue avec trois hommes pour aider le Gascon. Parvenus à le rejoindre, ils constatent que les assaillants ont pris la fuite.
Ils arrivent au village où ils sont accueillis par la curiosité des enfants. Un des hommes de main les repère, sort péniblement de son hamac, tente de ramasser son mousquet mais il est stoppé par un tir de boucanier.
De Vercourt fait gratter les marques vaudous trouvées sur les arbres.
La troupe découvre le village et atteint la résidence de Rondfleur. Celui-ci, surpris par une telle troupe, sort pour savoir qui ils sont.
De Vercourt explique qu'ils viennent chercher un Indien et trouver une explication aux disparitions. Il se montre assez vindicatif et accuse Ronfleur de leur avoir tendu une embuscade. Il est irrascible et ne cesse de se plaindre de sa jambe douloureuse. Le planteur se défend vigoureusement des accusations de sorcellerie.
N'Serenghi et Bichon partent dans le village à la rencontre des habitants. Bichon s'adresse aux enfants et devine la conivence du planteur avec la religion vaudou. Il apprend la division du village en deux parties. N'Serenghi demande à parler au houngan et est orienté vers Oudné. Le vieil homme reconnaît la bienveillance de son maître mais laisse entendre que tout n'est pas parfait dans la plantation. Il apprend à N'Serenghi l'existence du livre du père de Rondfleur qui permettra "d'en savoir plus". Il explique qu'il n'est plus le houngan et que c'est maintenant la mambo Tani qui conduit les rituels.
A la résidence, les PJ décrivent à Rondfleur leurs attaquant et le planteur reconnait qu'ils travaillent bien pour lui. Il explique que ses voisins jaloux ont pu payer ses hommes pour monter les pirates contre lui et l'atteindre. Il fait amener Obutu pour avoir des explications. Le contremaître a du mal à se contenir et montre une certaine insolence. Il est emmené à l'écart par Rémy qui l'interroge. Obutu révèle avoir agit d'après une prophétie d'Oudné.
Ronfleur apprend aux PJ le départ de Nanire.
Revenu du village, Bichon apprend que Tani est la servante de Ronfleur. Elle est amenée avec son maître et Obutu dans le salon, où ils se retrouvent de plus en plus prisonniers des pirates.
Bichon fouille la maison à la recherche du livre. Il découvre la pièce avec le cercueil, la poupée vaudou, les tableaux et n'entre pas dans un premier temps dans la pièce condamnée. Il revient dans le salon et Ronfleur justifie le cercueil (la veillée de son père) et la poupée (il faut bien se protéger des dangereux voisins).
Le gabier trouve des hommes forts et défonce la porte de l'étage. Il découvre les symboles vaudous ainsi que le papier mentionnant un loup-garou. Ronfleur se défend en disant qu'il s'agit de superstitions. Tête de Pioche fait remarqué qu'une telle explication venant d'un planteur qui n'a pas de chapelle, et dont les esclaves ne sont pas des bons chrétiens ne semble pas très crédible...
Xabi fouille la bibliothèque, et répère l'anomalie architecturale. Bichon actionne le mécanisme.
N'Serenghi amène Oudné qui confirme qu'il a vu leur venue et que les Guédés vont déverser des torrents de sang sur le village. De Vercourt somme Ronfleur de dire la vérité. Le planteur l'informe que l'indien a converti une partie du village à la religion aztèque. Insatisfait, De Vercourt abat Oudné.
A ce moment là, Xabi pénètre dans la salon, le livre ouvert à la dernière page, portant le nom d'Oudné...
Bon ça fait un moment que je n'ai pas posté...Pas eu le temps de rédiger les compte-rendus mais il y a eu deux séances depuis le dernier CR. Deux séances qui ont servi à boucler la plantation.
En deux mots : fiasco total aussi pour mes joueurs, ça s'est terminé en bain de sang. En gros quand les pirates sont tombés sur les zombis d'Obutu, ils ont décidé de tout brûler, tuer Ronfleur, sa mère, Tani, le village de l'Ombre...
Lissa s'est mise en rogne, les zombis ont attaqué, combat épique puis fuite éperdue des PJ (des 70 hommes, il en reste 5). N'Serenghi est blessé au milieu des zombis, il a vu Lissa se faire détruire par Nanire, puis Nanire se faire dépiauter par les zombis.
Je vais essayer de revenir sur les détails de cette cata. De mon côté, cette issue ne me gêne pas trop. Va falloir qu'ils assument leurs actes maintenant.
En deux mots : fiasco total aussi pour mes joueurs, ça s'est terminé en bain de sang. En gros quand les pirates sont tombés sur les zombis d'Obutu, ils ont décidé de tout brûler, tuer Ronfleur, sa mère, Tani, le village de l'Ombre...
Lissa s'est mise en rogne, les zombis ont attaqué, combat épique puis fuite éperdue des PJ (des 70 hommes, il en reste 5). N'Serenghi est blessé au milieu des zombis, il a vu Lissa se faire détruire par Nanire, puis Nanire se faire dépiauter par les zombis.
Je vais essayer de revenir sur les détails de cette cata. De mon côté, cette issue ne me gêne pas trop. Va falloir qu'ils assument leurs actes maintenant.
