Et sinon à part des JDR, tu lis quoi? 985
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Alors :
In “The Temple”, the lone survivor of a stranded German U-Boat is writing about their discovery of an hellenic-style temple beneath the sea which is calling to them… It was written by Lovecraft in 1920 and published in Weird Tales #24 in September 1925. Tanabe published his adaptation (「神殿」/ Shinden / “Temple”; 64 pages) in the March and April 2009 issues of Comic Beam. As usual, Tanabe adaptation is quite faithful — beside the fact that he moved the timeline from WW1 to WW2.
Lu ici : https://clodjee-blog.com/2021/12/01/
Donc, ça confirme que que j'ai supposé plus haut ; cessez donc d'en faire des gorges chaudes, les gens…
Et du même ordre, je lis dans l'article que c'est sur les drapeaux terrestres que la croix gammée est dans le bon sens des deux côtés. Or, on est sur un sous-marin et dans la marine on voyage léger : le drapeau se doit d'être léger et il n'est p-ê pas brodé différemment des deux côtes ? Il faut pouvoir le rouler et le plier quand on plonge…
On passe à autre chose ?
Alors :
In “The Temple”, the lone survivor of a stranded German U-Boat is writing about their discovery of an hellenic-style temple beneath the sea which is calling to them… It was written by Lovecraft in 1920 and published in Weird Tales #24 in September 1925. Tanabe published his adaptation (「神殿」/ Shinden / “Temple”; 64 pages) in the March and April 2009 issues of Comic Beam. As usual, Tanabe adaptation is quite faithful — beside the fact that he moved the timeline from WW1 to WW2.
Lu ici : https://clodjee-blog.com/2021/12/01/
Donc, ça confirme que que j'ai supposé plus haut ; cessez donc d'en faire des gorges chaudes, les gens…
Et du même ordre, je lis dans l'article que c'est sur les drapeaux terrestres que la croix gammée est dans le bon sens des deux côtés. Or, on est sur un sous-marin et dans la marine on voyage léger : le drapeau se doit d'être léger et il n'est p-ê pas brodé différemment des deux côtes ? Il faut pouvoir le rouler et le plier quand on plonge…
On passe à autre chose ?
Man From Outerspace
Ah, mais à aucun moment je n'en fais des gorges chaudes ! Je lis avec plaisir tous les albums de Gou Tanabé consacrés à Lovecraft, mais j'ai tiqué devant cette image insolite. Ça n'enlève rien au mérite du dessinateur.
Toutefois, le texte que tu cites est intéressant, mais il ne porte pas non plus la parole de Gou Tanabé : il n'est qu'ne interprétation, qui va dans ton sens, mais son auteur ne me semble pas plus légitime que toi ou moi pour en parler. Il suppose que l'apparition de ce drapeau exprime l'intention de Gou Tanabé de glisser de la première à la deuxième guerre mondiale. Si tel est le cas, je n'en vois guère l'intérêt : la seconde guerre mondiale serait mieux connue des lecteurs japonais pour des raisons historiques ? Sans doute, mais l'intrigue reste parfaitement compréhensible, quelle que soit la guerre invoquée.
Par ailleurs, ce drapeau est vraiment là comme un cheveu sur la soupe : je ne vois dans le reste du récit aucune marque se rapportant à la seconde guerre mondiale, sur les uniformes par exemple. Et je ne suis pas assez expert en sous-marins pour juger de l'appartenance de l'U-boot à telle ou telle époque.
Bref : je continue à lire Gou Tanabé avec bonheur. Un seul détail graphique me fait tiquer, depuis le début : je trouve les visages tous assez semblables, pas assez distincts (et c'est une impression que j'ai devant tous les mangas, sans doute par manque d'habitude). Je suppose qu'il y a là un aspect culturel propre au graphisme de la BD nippone.
J'ai déjà eu la même impression en lisant de la BD d'aventure classique américaine (Alex Raymond, Hal Foster et autres) : une attention davantage portée au corps en mouvement, au détriment de la physionomie. Malgré de nombreuses exceptions (Segar, Will Eisner...).
Bonne nuit.
De mon côté à l'occasion de la vente et du vidage de la maison familiale j'ai finalement lu L'aveu, un récit choquant des Procès de Prague vu de l'intérieur par Artur London. Lui et son épouse Lise étaient des amis de ma grand-mère (qui est citée) et ayant qques souvenirs personnels du couple (notamment leur grande culture et les scores astronomiques qu'ils obtenaient au Scrabble), j'avoue que ça m'a laissé une impression douce amère. Un pan de l'histoire familiale, mais le regret d'avoir été trop jeune à l'époque pour comprendre.
- Senrad
Comme je dis souvent : on ne relit jamais assez Simenon. Partant de ce principe, je me suis fait plaisir en lisant "Maigret chez le ministre" puis "Maigret et son mort" et j'ai enchaîné avec "Maigret et l'indicateur" et "Maigret et Monsieur Charles" avant de conclure avec "La tête d'un homme" en guise de dessert : ça se lit tout seul, un vrai régal !
J'ai quand même fait un entr'acte en lisant ce polar italien que m'a envoyé un ami :
Valerio Varesi "Les mains vides"
Dans la ville de Parme écrasée par la chaleur estivale, le commissaire Soneri doit enquèter sur un meurtre qui parait banal à première vue, mais qui ne tardera pas à dévoiler certains aspects peu reluisants du monde des affaires : en effet, certaines sociétés immobilières peu scrupuleuses ont décidé de faire main basse sur la ville et elles n'hésitent pas à employer des méthodes plus que douteuses, malgré un vernis de respectabilité qui finira par se craqueler petit à petit. Désabusé par cette nouvelle pègre contre laquelle ses méthodes de flic traditionnel paraissent dérisoires, le commissaire préfèrerait nettement avoir affaire à des truands "à l'ancienne" mais ceux-ci semblent être également appelés à disparaitre....
Après avoir repris une bonne dose de Simenon, je viens de terminer un roman qui aurait pu attendre la fin du mois si on en croit son titre, mais j'étais en avance sur le calendrier : "L'assassinat du père Noël" par Pierre Véry.
Dans un petit village de Meurthe-et-Moselle, une lettre anonyme annonce le vol prochain du trésor de la paroisse locale : deux diamants sertis dans une relique. Inquiet, l'archevèque de Paris envoie son meilleur limier sous une fausse identité pour tenter de déjouer le vol, mais celui-ci a quand même lieu et on déplore, en plus, le meurtre d'un inconnu déguisé en Père Noël. Autant dire que l'ambiance au village n'est plus vraiment à a la fête.... un bon roman policier, écrit dans un style qui peut paraitre suranné (les tournures de phrases évoquent souvent Maurice Leblanc par exemple) mais qui ne manque pas de charme, et on se laisse facilement happer par l'intrigue.
Arrivé je ne sais comment chez moi je me retrouve avec un cadeau surprise : les premiers chapitres de La 25e heure de Feldrik Rivat (à ne pas confondre avec le roman du même nom de Constantin Virgil Gheorghiu). J'accroche et me voici acquérir le roman et sa suite (Le Chrysanthème noir). Les deux formant une duologie.
Le premier roman débute bien, très bien, avec une enquête dans le Paris de 1899, une introduction qui laisse présager une uchronie à venir et un inspecteur bourru suivi de son jeune stagiaire qui s'accroche. Le ton alterne entre le plus sérieux (sur l'enquête) et une forme d'humour décalé (les dialogues entre plusieurs personnages).
Le style est un peu trop recherché, donnant parfois l'impression que c'est une volonté de mettre en avant un langage soutenu pour artifiiellement nous plonger dans ce Paris oublié. Ce sentiment est exacerbé par les descriptions pointilleuses à la limite de l'obsession (noms des rues avec leurs forme, architecture et les bâtiments présents). Selon l'intensité de la scène cela permet de se plonger dans l'aventure, en immersion complète, ou au contraire d'avoir un guide touristique trop bavard empêchant le lecteur de profiter de l'action.
La fin du roman montre quelques signes de faiblesse, qui deviendront encore plus présents dans le second tome : incohérences, deus ex machina, révélations sur révélations (Le pire est évité : tout ceci n'était pas qu'un rêve).
Malgré tout, l'envie d'avoir le fin mot de l'histoire et de connnaître la destinée des deux personnages du départ m'ont poussé à aller jusqu'au terme de la lecture. Une belle surprise également : les motivations des uns et des autres ne sont pas toujours celles que l'on image et le manichéisme de base est souvent évité.
Un bilan mitigé finalement, avec d'excellents moments et une forme de lassitude.
Après avoir lu la trilogie consacrée par James Lovegrove à l'improbable rencontre entre Sherlock Holmes et Cthulhu (trilogie dont je parle quelques messages plus haut) je viens de terminer un autre roman du même auteur avec, une nouvelle fois, le célèbre détective : "Sherlock Holmes et la Bête des Stapleton"
5 ans après les tragiques évènements qui se sont déroulés autour de Baskerville Hall, Sherlock Holmes est de retour sur les terres autrefois antés par le fameux chien de la légende. Cette fois, c'est une phalène géante qu'il devra affronter, avant d'entreprendre un périlleux voyage jusqu' au Costa Rica pour sauver le jeune fils de Sir Henry Baskerville. Une fois encore, il est question de vengeance et le coupable n'est pas forcément celui qu'on croit.... un très bon roman dans lequel l'auteur apporte une petite touche personnelle tout en restant respectueux du mythe sherlockien.
je suis sur beaucoup de romans starwars haute republique et epoque premiere trilogie (j aime mais aussi inspis pour nos parties de groupe)
j ai pas mal de romans jeunesses (ca parait etrange, mais ils offrent une fraicheur et du fantastique qui m aide pour divers jdr)... la je suis sur La Passe Miroir, mais j ai aussi Magic Charly, du Percy Jackson...
j ai en attente Les Lames du Cardinal (les six romans) et quelques recueils du Paris des Merveilles (j ai des projets sur ces thematiques)
j ai relu Entretien avec un Vampire, Carmilla et je vais m atteler a Je suis une legende puis a Dracula (je me relis les classiques sur les vampires)
un peu de Jules Vernes en attente, du Agatha Christie et du Dumas ^^
faut que je regarde mais je crois qu il me reste un peu de Lovecraft et de Tolkien a lire...
Je me refais "Dune", moi. Impérissable, inaltérable. Etonnant, à la relecture de voir à quel point le roman a inspiré toute la littérature imaginaire qui a suivi. "Star wars", bien sûr, mais le niveau d'intrigues politiques à tiroir laisse supposer que Georges Martin a dû le relire dans les détails avant d'écrire sa chanson de glace et de feu... C'est hallucinant à quel point ce roman est riche.
- Poisson Pane
Bram Stoker "Le repaire du Ver Blanc"
Surtout connu pour avoir écrit "Dracula" alors qu'il venait d'atteindre la cinquantaine, le romancier irlandais publia, un an avant sa mort survenue en 1912, ce roman fantastique qui reprend de nombreux éléments du genre : un jeune et courageux héros prêt à tout pour défendre une jeune et innocente demoiselle, un vieil érudit un peu loufoque, une femme étrange au charme vénéneux, un riche propriétaire terrien à la réputation sulfureuse accompagné d'un serviteur africain qui pourrait bien être un prêtre vaudou, un terrible monstre surgi du fond des âges.... en guise de fil directeur, on y retrouve surtout un des thèmes favoris de l'auteur : la persistance de mythes qu'on croyait oubliés. Les amateurs de fantastique apprécieront et un MJ cthulhien y trouvera sans doute de quoi faire frémir ses joueurs....
Lovecraft ... encore ... La faute à l'integrale en cours de parution chez Mnémos ...
Je suis sur "Le Patriarche", 4ième volume des "Enfants de Ji", deuxième des 3 arcs qui composent le Cycle de Ji de Pierre Grimbert.
J'ai terminé "Ténèbres sur Sethanon", 4ième volume de "La guerre de la faille" de Raymond E. Feist, premier arc des Chroniques de Krondor. Je commence donc le deuxième arc "La trilogie de l'Empire" avec "Fille de l'Empire".
Et j'ai envie de me refaire l'integrale de Tolkien ... encore -_- ..
J'ai commencé ce matin La Saga des hommes dieux de Philip José Farmer. Je n'en suis qu'au chapitre 3 mais il y a un truc qui me dérange vraiment : le perso principal qui n' aucune réaction apparante face à ce qui lui arrive :$.
Alors je suppose que ca doit avoir une raison d'être, mais pour le moment ca donne un coté complétement incohérent au personnage qui me donne juste envie de fermer le bouquin et de passer à autre chose ...
- Nonobub
- et
- Ethariel
patience...
Tiens le coup, la saga en vaut la peine (sauf le dernier tome peut-être comme souvent chez PJ Farmer). (Ah tiens je n'avais jamais percuté sur ses initiales).