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[Pathfinder Campagne] L'Héritage du feu - #20 : La demeure de la bête 6

Forums > Jeux de rôle > Errata

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Bonjour
Premier coup d’œil et une remarque qui pourrait s'appliquer au tome 19 également
En 1ère de couverture il ne semble pas y avoir de majuscule à "l'héritage du feu"
En 4ème de couverture il ne semble pas y avoir de majuscule à "là où sommeille le mal"
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Page 10 dans la légende de l'image : "Véritable forme de Zayifid" (au lieu de "vértiable").
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Ma remarque précédente sur les majuscules en début de ligne sur les couvertures est valable également sur chaque entête des pages intérieures
p50c1p2l4
porteuses de vie
p50c2p1l2
enfouis et pas enfouie
p51c1p3l6
arrivées
p51c2p1l11
tentaculaire pourvue d'un rostre
p52 la carte
la légende est en miles et pas en km
p55c1p2l6
"oliviers" et pas "olives" (j'aime le concept d'un bosquet d'olives)
p56c1p2l6
"passent" et pas "passant"
p58c1p1l5
s’est répandue à l’ancien Osirion, au Garund
Chapitres sur le géographie de la montagne pâle et Sarenrae lus
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Ma remarque précédente sur les majuscules en début de ligne sur les couvertures est valable également sur chaque entête des pages intérieures
Fedaykin
C'est normal, c'est un choix graphique lié à la police. C'est pareil en vo.
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Bonjour à tous,
Juste pour info des membres du forum, je vous copie ci-dessous les remarques que j'ai envoyées à la team BBE. Comme je les tape sous Word, que je trouve nettement plus agréable que le forum pour la mise en page, j'ai un peu de mal à vous restituer le tout de manière facile à lire. Mais je me suis dit que ça pouvait éventuellement en intéresser certain. Donc au cas où, pour les courageux qui voudraient les lire, voici mes remarques et propositions de corrections :
Page B :
Paragraphe 1, ligne 1 : « A l’époque où les dragons et les génies s’affrontaient et que les gens [...] » : La phrase commence par « A l’époque où » ; le « que » qui suit est donc en trop. Il faut soit le remplacer par un autre « où », soit ne rien mettre du tout, le premier « où » étant suffisant.
Page 5 :
Colonne 2, paragraphe 3, lignes 2 à 6 : il y a un problème dans la construction de la phrase. « Débordé par », au début de la phrase, se rapport à un sujet (Wolfgang) qui ne vient pas, puisque la phrase principale commence en fait par « dire que ». Pour solutionner ce problème, je propose d’inverser la structure :
« Dire qu’il [je remplace Wolfgang par il, car le prénom figure déjà dans la phrase qui précède, ce qui nous donnerait une répétition !] est occupé est un léger euphémisme, car il est débordé par [...] »
Page 10 :
Légende de l’illustration : Corriger par « Véritable »
Page 11 :
Colonne 2, avant dernier paragraphe, dernière ligne : « [...] peuvent chuter à presque de zéro durant la nuit. » : retirer le « de » qui est en trop.
Page 18 :
Colonne 2 : « Effet chute de briques (toutes les cibles à moins de 9 mètres de la porte de la zone C3) » : la cour ne fait que 3mx3m (si l’on ne compte pas les ailes) ; la zone d’effet est donc assez étonnante. Par ailleurs, dans l’absolu, 9m, ça fait une sacré zone d’effet pour une chute de briques...
Page 25 :
Colonne 2, paragraphe 4, ligne 3 : « Prêtre de Lamashtu dément, [...] » : « dément » n’est pas bien positionné ; il convient d’écrire : « Prêtre dément de Lamashtu [...] ».
Page 29 :
Colonne 2, paragraphe 5, ligne 11 : « Ecrites en terreux, quiconque étudie ces pages pendant quelques minutes parvient [...] » : là encore, la construction n’est pas correcte du point de vue syntaxe. « Ecrites en terreux » se rapporte aux « pages » et non à « quiconque ». Il convient donc d’écrire :
« Quiconque étudie ces pages écrites en terreux pendant quelques minutes parvient [...] »
Page 30 :
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 1 : « Des tas de pierre brisée obstruent [...] » : mettre au pluriel « pierres brisées ».
Colonne 2, paragraphe 5, ligne 3 : « [...] attention toute particulière à cet endroit, endroit dont le jann [...] » : la redondance de « endroit » n’est pas nécessaire et au contraire, plutôt lourde ; on peut tout à fait supprimer la seconde occurrence sans altérer le sens de la phrase tout en la rendant plus fluide.
Page 32 :
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 14 : « [...] et ne connaissant rien de plus que l’esclavage [...] » : j’imagine que la tournure anglaise est « nothing more than »... En français, je ne traduirais pas mot à mot et mettrais plutôt : « [...] et ne connaissant rien d’autre que l’esclavage [...] ».
Colonne 1, paragraphe 3, lignes 18-20 : « Les quatre esclaves restants sont aussi terrifiés par leur nouveau maître ogrelin qu’ils l’étaient des gnolls : pour eux, rien a changé [...] » : remplacer « des » par « par les », et introduire une négation après « rien » :
« Les quatre esclaves restants sont aussi terrifiés par leur nouveau maître ogrelin qu’ils l’étaient par les gnolls : pour eux, rien n’a changé [...] »
Page 33:
Colonne 1, paragraphe 2, lignes 1-2 : « De ce côté, la porte nord est recouverte de toiles et bloquée par des décombres de l’autre. ». La structure de la phrase est légèrement bancale : il y a en fait deux parties, articulées par « de ce côté » et « de l’autre », sauf qu’il manque un verbe au milieu et que le « de l’autre » est mal positionné (probablement du fait de la structure anglaise de la phrase). Je propose :
« De ce côté, la porte nord est recouverte de toiles et de l’autre, elle est bloquée par des décombres. »
Page 38
Colonne 1, paragraphe « Thkot Tal », ligne 1 : « [...] (voir la page 330 duTome of Horrors [...] » : mettre un espace entre « du » et « Tome ».
Colonne 1, paragraphe « 14. Quartiers du roi », ligne 3 : la phrase est en deux temps. Il serait donc bon d’y apporter un temps de respiration au moyen d’un point virgule : « Une collection d’armes pend à des pointes enfoncées dans le mur ; elle comprend [...] ».
Page 39 :
Colonne 1, paragraphe 4 (I7. Chambre de l’Ascension), avant-dernière ligne : « Une porte plus petite dépourvue de serrure évidente [...] » : en français, cette formule est assez étrange. Je la remplacerais bien par : « Une porte plus petite apparemment dépourvue de serrure [...] »
Colonne 2, paragraphe 2, dernière ligne : « La chance de transformation en réprouvé n’est possible que si la procédure est accompagnée de prière [...] » : je ne suis pas sûr de bien comprendre cette phrase, et en tout état de cause, le fait qu’une « chance » soit « possible » me laisse dubitatif. Pour ce que j’en comprend, l’idée est simplement que la transformation n’est possible que s’il y a des prières..., et donc je simplifierais la phrase en supprimant « La chance de ». On aurait ainsi :
« La transformation en réprouvé n’est possible que si la procédure est accompagnée de prière [...] »
Page 40 :
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 1 : « Grotesque au-delà de tout reproche, [...] » : est-ce le bon terme ? J’avoue que là encore, je saisis assez difficilement le sens.
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 12 : « [...] en volant de la nourriture pour eux, il se blottissait [...] » : la phrase est longue et nécessite un temps de respiration, d’autant plus qu’on amorce ici une deuxième partie qui peut se distinguer de la première partie. Je propose donc de mettre un point et d’ouvrir une nouvelle phrase :
« [...] en volant de la nourriture pour eux. Il se blottissait [...] »
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 16 : « Comme il s’est avéré, Mariggah [...] pensa que ce garçon bestial pourrait bien être un présage. » : Remplacer « Comme il s’est avéré » par « Il s’avéra que ».
A suivre...
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Le texte est long, donc... SUITE :
Page 41 :
Colonne 2, dernier paragraphe, lignes 1-2 : « Si les PJ rencontrent Zayifid ici, il sera dans son déguisement de Rokova, l’assassin gnoll, et lui simulera la poltronnerie. » : remplacer « lui », qui ne convient pas, par « il », ou bien le supprimer purement et simplement.
Page 46 :
Colonne 1, paragraphe 1, lignes 2-3 : « La structure ne fait toutefois guère réellement plus [...] » : problème de positionnement de « réellement » ; l’utilisation de l’adverbe ne facilite pas non plus son positionnement dans la phrase. Proposition de correction :
« En réalité, la structure ne fait toutefois guère plus [...] »
Page 49 :
Colonne 2, dernier paragraphe, ligne 11 : « (voir le Prix du Chacal pour des conseils sur la façon dont gérer [...] » : remplacer « dont » par « de ».
Page 50 :
Colonne 1, Paragraphe 1, ligne 3 : « [...] et l’étendue Mwangi à l’ouest » : dans le Guide de la Mer intérieure, la traduction est « Etendue du Mwangi ».
Colonne 1, paragraphe 1, ligne 5 : idem
Colonne 1, paragraphe 2, 2 dernières lignes : « [...] qu’on les laisse libre de tracer leur propre voie ainsi l’indépendance de ce peuple frise l’obstination. » : il serait bien de mettre un point virgule (ou éventuellement un point) après « voie » pour marquer la respiration entre les deux parties de cette phrase.
Colonne 2, paragraphe 3, dernière ligne : « [...] contrôlent le canyon Blanc depuis quelque temps » : mettre « quelques » (pluriel).
Page 51 :
Paragraphe en tête de page, ligne 7 : « […] et des gouffres si profonds dont le fond est impossible à voir […] » : dans le contexte de la phrase, je remplacerais « dont » par « que leur » :
« […] et des gouffres si profonds que leur le fond est impossible à voir […] »
Colonne 2, paragraphe 2, ligne 5 : « […] pour se jeter en bas dans la Pâle […] » : je remplacerais « en bas », qui n’est, à ma connaissance, pas une formule utilisée en français, par « plus bas » ou « en aval » par exemple.
Colonne 2, paragraphe 2, lignes 15-16 : « […] près de la source du fleuve située en profondeur dans les montagnes, et ses eaux […] » : pour plus de fluidité, j’écrirais plutôt :
« […] près de la source du fleuve située en profondeur dans les montagnes dont les eaux […] »
Page 54 :
Colonne 2, paragraphe 1, lignes 4-5 : « Le folklore des gnolls et des nomades superstitieux de ces terres expliquent […] » : mettre le verbe au singulier (le sujet est « le folklore »).
Page 55 :
Colonne 2, paragraphe 2, ligne 12 : « Ses suivants et elles […] » : « elles » est à mettre au singulier.
Colonne 2, paragraphe 4, lignes 16-17 : « […] et une grande partie de leur savoir disparut avec les anciens. Il reste juste à peine de druides pour s’occuper du val […] » : 2 problèmes dans ces deux phrases, le temps de la première et la formulation de la seconde. Pour le temps, il y a un passé composé au début de la phrase, il faut donc poursuivre avec un passé composé (« a disparu » donc).
Pour la formulation, il faut faire un choix : « Il reste à peine assez de druides » ou bien « Il reste juste assez de druides ».
Colonne 2, paragraphe 5, ligne 3 : « […] de rudes créatures, souvent rocheuses […] » : je n’y connais pas grand-chose en matière de créatures dans Pathfinder. Ca me fait bizarre qu’on parle de créatures « rocheuses » mais peut-être est-ce que ça fait référence à certaines créatures particulières…
Page 56 :
Colonne 1, paragraphe 2, lignes 4-5 : « Les histoires de derros vivant dans les profondeurs des pics sont vraies, toutefois, ces kidnappeurs […] » : je pense qu’il faut segmenter cette phrase en deux, en remplaçant la virgule après « vraies » par un point-virgule.
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 1 : Problème de construction de la première phrase, avec une fois de plus un complément qui ne se rapport pas au sujet. Je propose de corriger de la façon suivante :
« Plusieurs groupes de dragonnes, féroces dragons-lions ailés, habitent […] ».
Page 57 :
Tableau des rencontres : problème de mise en page à la ligne 78-80. Le texte de la colonne « Monstre » semble réparti sur 2 lignes. Est-ce « 1 div » pour le résultat 78-80, et paraïka pour la ligne du dessous ? Par ailleurs, « Bestiaire, p277 » devrait être dans la colonne « Source ». Bref, je pense qu’il faut revoir la mise en page du tableau !
Page 59 :
Colonne 2, paragraphe 4, lignes 4-5 : « nombre d’entre eux partent en quête […] » : verbe à mettre au gérondif, soit « partant »
Page 63 :
Colonne 1, paragraphe 1, ligne 1 à 3 : « Rovagug est particulièrement détesté, car sa destruction irraisonnée s’oppose à sa nature généreuse et qu’elle se souvient toujours de […] ».
?   Tout d’abord, le « qu’ » n’est pas correct, il faut le supprimer.
?   Ensuite, la structure n’est idéale, car entre les différents pronoms, il devient difficile de savoir lequel se rapporte à qui, sachant que dans les phrases précédentes, le sujet était Sarenrae alors que là, soudainement, on met Rovagug en sujet. La phrase reste correcte ainsi, mais je pense qu’il aurait été mieux de replacer Sarenrae en sujet, de la façon suivante (même si elle modifie quelque peu la phrase en VO) :
« Elle déteste particulièrement Rovagug, car la destruction irraisonnée de ce dernier s’oppose à sa nature généreuse, et elle se souvient toujours de […] »
Colonne 1, paragraphe 4, lignes 1-3 : « Née dans une famille de faible statut social, le père de Sahba prévoyait de la donner […] » : faute de syntaxe, « née » ne se rapporte pas au « père » mais à « Sahba ». Il faut donc inverser la structure :
« Née dans une famille de faible statut social, Sahba devait être donnée par son père […] »
Colonne 1, paragraphe 4, dernière ligne : « […] acte de charité ou de générosité duquel elle aurait été témoin. » : je mettrais plutôt « dont » que « duquel ».
Colonne 2, paragraphe 2, ligne 1 : « Les érudits religieux débattent de savoir […] » : remplacer « de » par « pour ».
Page 64 :
Colonne 1, paragraphe 1, ligne 5 : « De nombreuses époques se sont succédé […] » : accorder avec « époques » (« succédées »)
Page 64 :
Colonne 2, paragraphe 4, ligne 6 : « […] de gaz naturel enflammés » : accorder avec « gaz » (« enflammé »).
Page 67 :
Colonne 1, paragraphe 5, ligne 2 : « Plusieurs jets de flammes orange […] » : accorder avec « flammes » (« oranges »)
Page 69 :
Colonne 1, pararaphe « statistiques », « compétences » : il manque un « + » à Connaissances (histoire) 13 », et il faudrait mettre un espace entre « Connaissances (religion) +16, » et « Diplomatie ».
Page 75 :
Colonne 2, paragraphe 1, ligne 4 : « […] de l’étendue Mwangi » : corriger par « l’Etendue du Mwangi »
Page 76 :
Colonne 2, paragraphe 4, ligne 4 : « […] une femme de l’étendue Mwangi. » : idem
Page 77 :
Colonne 2, paragraphe 8, ligne 4 : « […] infesté de gnolls connu sous le nom des pics d’Airain. » : je mettrais plutôt « de » que « des » : il s’agit du nom de « X », le fait que le nom soit au pluriel ne change rien.
Page 78 :
Colonne 2, paragraphe 3, ligne 1 : « Ces esclaves, tous comme ceux […] » : remplacer « tous » par « tout ».
Page 79 :
Paragraphe d’en-tête, ligne 7 : « […] lui promettant tout qu’il n’avait […] » : il manque un « ce » entre « tout » et « qu’il ».
Colonne 2, paragraphe 1, ligne 4 : « […] obtenu par le biais […] » : « obtenu » se rapporte à « race gnolle » et doit donc s’accorder au féminin.
Page 80 :
Colonne 2, pargraphe « Pouvoirs spéciaux », « Boire sur le vent » : à la ligne 3, on lit « Les créatures affectées […] » mais à la ligne 4, on lit « De plus, elle est affectée […] » : il faut mettre les deux phrases en cohérence, soit tout au pluriel, soit tout au singulier.
Page 81 :
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 5 : « […] cette dernière qu’avec précautions […] » : il n’y a pas lieu de mettre « précaution » au pluriel, il s’agit dans ce sens d’un terme générique.
Colonne 1, paragraphe 4, ligne 3 : « […] dans les prairies alpestres […] » : je ne sais pas quel est le terme anglais d’origine, mais en français, je pense que c’est plutôt « alpines » qu’il faudrait employer, ce dernier mot désignant ce qui est « propre aux montagnes » alors que alpestres se réfère à ce qui est propres aux Alpes, montagnes qui n’existent pas sur Golarion ! (bon, il est vrai que « alpin » vient également de la même origine, mais bon…)
Colonne 2, encadré, paragraphe 3, ligne 4 : « […] où Mohammed attache […] » : je pense qu’il s’agit là de Mahomet, que l’on nomme déjà dans le premier paragraphe. Si c’est le cas, je pense qu’il faut utiliser le même nom dans l’ensemble de l’encadré, soit « Mahomet », soit « Mohammed ».
Page 83 :
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 1 : « […] la forme d’un corps maigre […] » : « maigre » n’est-il pas un terme un peu fort, sachant que l’on parle d’un corps de 1,80m pour 68kg. J’aurais plutôt utilicé « mince ».
Page 86 :
Colonne 2, paragraphe « Tactique », lignes 1 à 4 : Cette phrase alterne affirmations, « mais », « tout de même » et « même si », ce qui la rend très lourde et malhabile. Sans connaître la phrase en VO, je proposerais bien quelque chose dans le genre :
« Si les réprouvés ne sont pas très intelligents, ils sont tout de même plus malins que des animaux même si ce n’est pas de beaucoup, et peuvent utiliser des tactiques rudimentaires. »
Page 87 :
Colonne 1, paragraphe 3, ligne 1 : « Le processus de création des réprouvé […] » : mettre au pluriel.
Colonne 2, paragraphe 1 (hors encadré), ligne 2 : « Si le gnoll réussit jet de sauvegarde […] » : il manque un « le » entre « réussit » et « jet ».
Page 89 :
Colonne 2, paragraphe 2, ligne 14 : « Sous sa forme humanoïde, ces colombes apparaissent […] » : problème de syntaxe, le complément (« Sous sa forme humanoïde ») ne se rapportant pas au sujet de la phrase (« ces colombes »). Je propose de modifier de la façon suivante :
« Lorsque Thalachos est sous sa forme humanoïde, ces colombes apparaissent […] ».
Page 92 :
Paragraphe « Le prix du chacal », lignes 7-8 : « […] et l’un des criminels le plus tristement renommé de tout Katapesh […] » : « l’un des » appelle la forme plurielle sur le reste de l’expression, soit :
« […] et l’un des criminels les plus tristement renommés de tout Katapesh […] »