Pour noël 2009, engendrez de nouveaux rôlistes ! 23
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Tu as tout compris
Sérieusement, il est bien aidé par les autres joueurs et on évite de tuer le perso pour pas déclencher de vendetta sanglante XD Lothan
cela dit, sans vouloir faire de l'élitisme de mauvais aloi, entrer dans les bottes d'un autre joueur, c'est l'enfer et pour le joueur et pour les autres !
quand un perso n'a pas la même personnalité d'une partie sur l'autre...
enfin ça dépend surtout de la nature du scénar, selon qu'il est plus ou moins centré sur les personages.
je joue à une campagne où ça serait vraiment pas envisageable du tout, d'autres où ça pourrait se négocier.
Tu as tout compris
Sérieusement, il est bien aidé par les autres joueurs et on évite de tuer le perso pour pas déclencher de vendetta sanglante XD Lothan
cela dit, sans vouloir faire de l'élitisme de mauvais aloi, entrer dans les bottes d'un autre joueur, c'est l'enfer et pour le joueur et pour les autres !
quand un perso n'a pas la même personnalité d'une partie sur l'autre...
enfin ça dépend surtout de la nature du scénar, selon qu'il est plus ou moins centré sur les personages.
je joue à une campagne où ça serait vraiment pas envisageable du tout, d'autres où ça pourrait se négocier.
K.
On ne fait pas ça pour tous les jdr!
Que quelqu'un touche à mon Nomade (Cyberpunk - 5 ans de jeu) et je le bute illico... pareil avec mon nain navigateur aérien dans Eathdawn.
Sérieusement, on fait plus ça quand on s'est mis d'accord pour faire un jeu annexe
Je up ce topic pour partager ma petite expérience en la matière.
J'avais beaucoup de mal pour trouver des joueurs au début. Si bien que j'ai décidé de me prendre en main, et de les former, ces joueurs. J'ai donc proposé à tous mes amis de lycée de l'époque d'essayer. Seulement 4 ont accepté, et je crois pouvoir dire sans me tromper que 3 n'ont jamais repris les dés en main. J'avais fait une courte initiation sur INS/MV, qui s'était bien passée. Mais le 4, qui était un ancien rôliste qui avait arrêté à cause du manque de joueurs, a repris du service et re-rassemblé ses anciens amis rôlistes, plus quelques nouveaux qui ont bien voulu essayer.
Petit à petit, le groupe s'est agrandi (et s'est doté d'un forum).
Et là, j'ai constaté qu'il y avait vraiment quatre catégories :
- les anciens rôlistes qui avaient abandonné par manque de temps, de joueurs, etc. Souvent 30-40 ans, avec une famille, mais prêt à essayer tous les jeux possibles. Une fois qu'ils ont repris le virus, on les arrête plus.
- les habitués, qui pratiquent déjà et cherchent toujours de nouvelles tables. Pas trop dur à contenter, souvent des étudiants ou jeunes travailleurs (20-30), qui guettent un peu tout ce qui sort.
- les personnes qui ne connaissent pas mais se laisseraient bien tenter : souvent la vingtaine, qui ne connaissent le vrai jdr que par bruits de couloir, mais qui ont gouté aux jdr PC ("c'est pareil, sauf que là, tu fais VRAIMENT ce que tu veux"), à Naheulbeuk, voire les Warhammer, etc. Là, évidemment ça dépend des joueurs, mais ce qui les rebute, ce sont les règles compliquées : privilégiez un système SIMPLE (Cthulhu au D100, avec son univers accessible et son système minimaliste, c'est le succès garanti ; possible d'enchainer sur d'autres univers et systèmes plus complexes rapidement, pour leur montrer la diversité de ce loisir).
- les totalement réfractaires. Là, vraiment, il n'y a rien à faire : ils ont déjà leur passion, et ne comprendront jamais qu'on puisse passer 5h à raconter une histoire en groupe ("mais ça sert à quoi ?").
Si vous voulez que le jeu de rôles continue à exister (et exister sous sa forme actuelle, pas comme un wargame avec un peu de RP, ou un jeu vidéo [j'adore les jeux vidéo aussi hein, mais ce n'est pas le même esprit]), il FAUT en parler aux "cibles potentielles", c'est à dire tous ceux qui ne sont pas farouchement hermétiques (pas seulement ceux qui sont un peu geeks et fans du SdA).
Présentez le comme un loisir à michemin entre le jeu de société et le théâtre (ça fait intello, ça rassure les bien-pensants... Si vous leur dites que c'est "comme quand on est petit et qu'on se racontait des histoires", ça produira un effet répulsif
), et essayez d'en parler seul à seul. Souvent un bon moyen est de laisser trainer un dé "original" (D4, D8, D10, D20...), et d'attendre qu'on vous demande à quoi ça sert. Ca marche très bien ! Et privilégiez les univers faciles d'accès dans un premier temps, et sans trop de règles (c'est ce qui rebute le plus).
Voilà, pas besoin d'une boite "débutants", le jeu de rôles, ça se transmet de vive voix, et à tous les âges.
J'avais beaucoup de mal pour trouver des joueurs au début. Si bien que j'ai décidé de me prendre en main, et de les former, ces joueurs. J'ai donc proposé à tous mes amis de lycée de l'époque d'essayer. Seulement 4 ont accepté, et je crois pouvoir dire sans me tromper que 3 n'ont jamais repris les dés en main. J'avais fait une courte initiation sur INS/MV, qui s'était bien passée. Mais le 4, qui était un ancien rôliste qui avait arrêté à cause du manque de joueurs, a repris du service et re-rassemblé ses anciens amis rôlistes, plus quelques nouveaux qui ont bien voulu essayer.
Petit à petit, le groupe s'est agrandi (et s'est doté d'un forum).
Et là, j'ai constaté qu'il y avait vraiment quatre catégories :
- les anciens rôlistes qui avaient abandonné par manque de temps, de joueurs, etc. Souvent 30-40 ans, avec une famille, mais prêt à essayer tous les jeux possibles. Une fois qu'ils ont repris le virus, on les arrête plus
.- les habitués, qui pratiquent déjà et cherchent toujours de nouvelles tables. Pas trop dur à contenter, souvent des étudiants ou jeunes travailleurs (20-30), qui guettent un peu tout ce qui sort.
- les personnes qui ne connaissent pas mais se laisseraient bien tenter : souvent la vingtaine, qui ne connaissent le vrai jdr que par bruits de couloir, mais qui ont gouté aux jdr PC ("c'est pareil, sauf que là, tu fais VRAIMENT ce que tu veux"), à Naheulbeuk, voire les Warhammer, etc. Là, évidemment ça dépend des joueurs, mais ce qui les rebute, ce sont les règles compliquées : privilégiez un système SIMPLE (Cthulhu au D100, avec son univers accessible et son système minimaliste, c'est le succès garanti ; possible d'enchainer sur d'autres univers et systèmes plus complexes rapidement, pour leur montrer la diversité de ce loisir).
- les totalement réfractaires. Là, vraiment, il n'y a rien à faire : ils ont déjà leur passion, et ne comprendront jamais qu'on puisse passer 5h à raconter une histoire en groupe ("mais ça sert à quoi ?").
Si vous voulez que le jeu de rôles continue à exister (et exister sous sa forme actuelle, pas comme un wargame avec un peu de RP, ou un jeu vidéo [j'adore les jeux vidéo aussi hein, mais ce n'est pas le même esprit]), il FAUT en parler aux "cibles potentielles", c'est à dire tous ceux qui ne sont pas farouchement hermétiques (pas seulement ceux qui sont un peu geeks et fans du SdA).
Présentez le comme un loisir à michemin entre le jeu de société et le théâtre (ça fait intello, ça rassure les bien-pensants... Si vous leur dites que c'est "comme quand on est petit et qu'on se racontait des histoires", ça produira un effet répulsif
), et essayez d'en parler seul à seul. Souvent un bon moyen est de laisser trainer un dé "original" (D4, D8, D10, D20...), et d'attendre qu'on vous demande à quoi ça sert. Ca marche très bien ! Et privilégiez les univers faciles d'accès dans un premier temps, et sans trop de règles (c'est ce qui rebute le plus).Voilà, pas besoin d'une boite "débutants", le jeu de rôles, ça se transmet de vive voix, et à tous les âges
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