De Black Book et sa politique 63
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Tout ce que je demande en fait, c'est de savoir où BBE pense aller? Je comprend l'argument des gammes diverses, mais regrette leur manque de clarté.. vouloir développer des gammes, c'est aussi vouloir les faire vivre et les perpétuels retards font fuir les joueurs plutôt que les intéresser. Pour preuve, aujourd'hui, un client arrive au comptoir avec le supplément Magie pour Shadowrun et demande quand sort celui sur la technologie.. Réponse: Je ne sais pas.. Résultat, le client n'achète pas la magie parce qu'il veut pouvoir avoir la technologie pour ses joueurs qui n'utilisent pas la magie... Daidoji KanedaTu as aussi pas mal de réponses sur ce forum. Genre midnight retardé parce quils ne savent pas si ils pourront sortir la suite, SR délayé parce qu'ils n'ont pas reçu les fichiers des US et que c'est un peu la merde avec le passage de droit depuis que Wizkids a revendu la licence, PAthfinder délayé à janvier parce qu'ils n'avaient pas reçus des fichiers des US alors que la trad était faite, etc...
Les réponses sont là, quand on pose la question. Quant aux dates de parutions, même approximatives, je crois qu'ils avaient expliqué qu'ils n'en donnaient plus parce que dès qu'il y a un retard ils se font voler dans les plumes.
Réponse: Je ne sais pas.. Résultat, le client n'achète pas la magie parce qu'il veut pouvoir avoir la technologie pour ses joueurs qui n'utilisent pas la magie... Daidoji KanedaEt ils ne sont pas non plus responsable des merdes Américaines hein...
Car bon je croit que shadow est principalement bloqué suite au changement de license...
Pour preuve, aujourd'hui, un client arrive au comptoir avec le supplément Magie pour Shadowrun et demande quand sort celui sur la technologie.. Réponse: Je ne sais pas.. Résultat, le client n'achète pas la magie parce qu'il veut pouvoir avoir la technologie pour ses joueurs qui n'utilisent pas la magie... Daidoji KanedaEffectivement, si tu lui avais dit qu'Augmentation étaient retardé par des problèmes de licence mais qu'il était prêt à partir à l'impression (tu es sur ce forum, tu connais donc certainement cet info que nous avons annoncée), ça l'aurait peut-être fait réfléchir...
Après, les éditeurs ne peuvent pas tout faire, vendre, c'est aussi motiver les troupes à acheter, surtout que Magie des ombres, c'est un sacré bon supplément !!!! Bien sûr, il y a toujours des clients qui trouveront des raisons de ne pas acheter un produit, mais bon, ça fait parti du jeu, c'est comme ça.
En tant que joueur et collectionneur, je dois dire que j'apprécie pas mal de voir que le nombre de produits de la gamme Pavillon Noir est plutôt faible : le jeu a l'air d'être concentré autour de quelques suppléments essentiels, et ça me rassure quelque part de savoir qu'il n'y pas besoin de passer au magasin tous les deux mois pour acheter la dernière sortie. Évidemment, j'espère ardemment que le volume 2 de la campagne sortira, mais un ou deux titres par an, ça me paraît être un rythme agréable, en tant que client. (En plus, ça me permet d'être convaincant quand je dis à ma femme que le jeu de rôle n'est pas un loisir cher parce qu'on n'a pas besoin de beaucoup de bouquins pour jouer…)
Pour ce qui est de la gamme Pathfinder, c'est assez amusant, en fait, de voir les réactions sur le forum français, parce qu'elle font exactement écho à celles du forum américain. Les abonnés là-bas (puisque Paizo a mis en place un système d'abonnement pour la plupart de leurs parutions) se plaignent du fait qu'ils ne recevront rien au mois de décembre. Retards d'impression, container bloqué à la douane (l'impression se fait en Chine), etc., font que certains clients suggèrent d'appeler tout simplement ces "unexpected delays", des retards "expected".
Le problème de l'industrie du jeu de rôle, c'est que les éditeurs essayent d'être sympa en communiquant auprès des clients, et que les clients en veulent toujours plus en réclamant des dates, et puis des previews, et puis des informations sur les parutions à venir, et puis… Alors que les éditeurs travaillent tellement en flux tendu que le moindre grain de sable (rien qu'un employé malade, ou une machine en panne chez l'imprimeur) peut tout décaler de plusieurs semaines.
Moi, ce que je constate, c'est qu'on en fait plus en communication quelques semaines/mois avant de sortir le produit que le jour où il est disponible pour de bon en boutiques. C'est valable aussi bien pour Black Book, que Paizo, que Fantasy Flight Games ou Green Ronin (pour parler de ceux que je connais). Et si les éditeurs faisait plutôt la part belle et réservait leurs annonces aux produits qui viennent d'arriver à la vente ? Prenez exemple sur Apple ! (Ceux qui comprendront, comprendront…)
Je me dis aussi que plutôt que de sortir Pathfinder 5 et 6 le même jour, ou bien comme c'est prévu apparemment le 7 et le 8 le même mois, ça vaudrait peut-être le coup de décaler un peu la sortie du second module de quelques semaines ? Ça aurait permis de temporiser et d'éviter un si gros écart entre la sortie du volume 6 et du volume 7, par exemple. Mais j'avoue volontiers que je n'y connais pas grand chose à la logistique de ces choses là, et si ça oblige à stocker deux palettes de Pathfinder 8 dans la cage d'escalier des locaux de BBE, ce n'est peut-être pas très praticable…
[Juste pour l'administrateur du forum : quand on s'inscrit, il est indiqué que si on ne reçoit pas son mot de passe, il faut contacter droledejeu (chez) hotmail.fr. Ce serait plus classe si l'adresse était du genre forum (chez) black-book-editions.fr !]
Moi, ce que je constate, c'est qu'on en fait plus en communication quelques semaines/mois avant de sortir le produit que le jour où il est disponible pour de bon en boutiques. C'est valable aussi bien pour Black Book, que Paizo, que Fantasy Flight Games ou Green Ronin (pour parler de ceux que je connais). Et si les éditeurs faisait plutôt la part belle et réservait leurs annonces aux produits qui viennent d'arriver à la vente ? Prenez exemple sur Apple ! (Ceux qui comprendront, comprendront…) Fayriesça serait idéal, c'est vrai. C'est un objectif à avoir, mais pour le moment, on est en flux tendu...
Je me dis aussi que plutôt que de sortir Pathfinder 5 et 6 le même jour, ou bien comme c'est prévu apparemment le 7 et le 8 le même mois, ça vaudrait peut-être le coup de décaler un peu la sortie du second module de quelques semaines ? Ça aurait permis de temporiser et d'éviter un si gros écart entre la sortie du volume 6 et du volume 7, par exemple. Mais j'avoue volontiers que je n'y connais pas grand chose à la logistique de ces choses là, et si ça oblige à stocker deux palettes de Pathfinder 8 dans la cage d'escalier des locaux de BBE, ce n'est peut-être pas très praticable… FayriesQuand on sort deux produits en même temps, généralement, on les décale. C'est ce qu'on va faire avec PF8, qui sortira une à deux semaines après PF7.
[Juste pour l'administrateur du forum : quand on s'inscrit, il est indiqué que si on ne reçoit pas son mot de passe, il faut contacter droledejeu (chez) hotmail.fr. Ce serait plus classe si l'adresse était du genre forum (chez) black-book-editions.fr !] FayriesCe vieux forum est appelé à changer en profondeur, histoire de se retrouver avec un meilleur outil. Affaire à suivre...
En tant que joueur et collectionneur, je dois dire que j'apprécie pas mal de voir que le nombre de produits de la gamme Pavillon Noir est plutôt faible : le jeu a l'air d'être concentré autour de quelques suppléments essentiels, et ça me rassure quelque part de savoir qu'il n'y pas besoin de passer au magasin tous les deux mois pour acheter la dernière sortie. Fayries=> Je suis d'accord avec toi, j'ai des tendances nécrophiles car je suis de nature très impatiente quand ça touche à la lecture, et que ce point représente au moins la moitié du JDR, donc en général je préfère me lancer dans des gammes mortes.
Après, pour certaines ça peut vouloir dire beaucoup de supplément et donc un gros investissement en argent, en temps, et aussi en recherche car pour tout chopper d'un coup. Pour ça que même si le jeu me tentais j'ai jamais acheté C.O.P.S., parce que c'était tout ou rien et la liste était trop longue à mon gout.
Après, de l'intérêt des suppléments, bah justement ça varie beaucoup d'une gamme à l'autre.
Au risque du me faire hurler dessus par les fans du jeu, j'ai pas l'impression que Pavillon Noir soit un jeu qui ait besoin de beaucoup de suppléments.
Justement parce que c'est un jeu qui se veut historiquement réaliste, il suffit de passer à la bibliothèque pour trouver un livre qui peut servir de supplément.
Après, pour les aspects moins réalistes, là il y a Entre Ciel et Terre qui tombe à point nommé si on veut inclure du fantastique dans ses aventures de pirate.
Le supplément sur l'escrime m'a l'air de tenir autant du supplément de contexte que du supplément de règles, donc ça c'est un autre aspect.
Sans doutes est-ce parce que j'ai pas les livres de cette gamme mais je n'ai pas l'impression qu'un supplément particulier soit attendu.
Après, les fans attendent la suite de la campagne mais ça rentre dans un autre cadre à mon avis.
Tous les jeux ne sont pas comme ça, par exemple c'est quand même difficile de faire jouer Polaris sans un minimum d'informations supplémentaires sur l'univers, et ce dernier est assez hétérogène ce qui fait de Polaris un jeu qui, de par sa nature, a besoin d'un bon nombre de suppléments pour être complet.
C'est aussi le genre de jeux où improviser n'est pas toujours chose aisée.
D'un autre côté, il y a un jeu de rôle Warhammer 40 000 qui a un univers extrêmement riche, mais paradoxalement pas besoin de masses de suppléments de contexte parce que l'univers dispose justement d'un grand nombre d'informations déjà délivrées dans les différents Codex pour le jeu de figurines qui peuvent servir de base à des aventures.
Enfin, parce que c'était difficile de pas le citer. Il y a Donjons et Dragons, qui se veut être une boîte à outils pour jeu de rôle med-fan et où les suppléments de contexte ne sont pas utiles, contrairement à des suppléments de règles, à moins de vouloir jouer dans un univers déjà créé, que celui-ci soit les Royaumes Oubliés, Greyhawk ou Golarion, et ce sont justement ces derniers qui exigerons plus ou moins de suppléments en fonction de leur construction.
Bref, tous les jeux n'ont pas cette même approche, et tous n'ont pas "besoin" du même traitement vis à vis des suppléments...
Le problème de l'industrie du jeu de rôle, c'est que les éditeurs essayent d'être sympa en communiquant auprès des clients, et que les clients en veulent toujours plus en réclamant des dates, et puis des previews, et puis des informations sur les parutions à venir, et puis… Alors que les éditeurs travaillent tellement en flux tendu que le moindre grain de sable (rien qu'un employé malade, ou une machine en panne chez l'imprimeur) peut tout décaler de plusieurs semaines.Oui, le problème c'est que les fans demandent des dates et que comme on l'a vu à de nombreuses reprises c'est très difficile d'en donner des justes, mais quand on attends vraiment un produit c'est difficile de se contenter de "Ce sera plus très long" ou de "C'est presque prêt" qui veulent souvent pas dire grand chose.
Perso j'aime pas les previews =D ça me gâche un peu le plaisir que j'aurais en lisant le vrai livre. Perso qu'il y ait peu d'informations sur le contenu qui filtrent je préfère.
Mais je n'aime pas trop le blackout informatif total. Au final on finit par se demander si ils avancent vraiment dessus ou si ils sont trop occupés à retaper leur yacht de 75 m...
Bref, à mon avis c'est comme toujours : une histoire de juste milieu. Sans pour autant qu'ils ne nous en disent trop j'aimerais bien que les éditeurs expliquent clairement comment se passe la création d'un jeu de rôle histoire qu'on déduise de par nous même si le fait qu'ils soient en train de faire la maquette est signe que le jeu va sortir bientôt ou qu'on doit encore attendre un moment...
Tu fait un découpage des étapes et tu regardes combien de temps ça ta pris (et si tu as eut une phase vide) et lesquelles ont posé problème.
Ce n'est pas pour gueuler sur un coupable, juste pour comprendre ce qui pose problème. Si on se rend compte que c'est toujours les même points qui gênent ont essaye d'y remédier.
Tu fais un tableau pour tous tes projets en même temps pour avoir un suivi parallèle.
Ex :
Si le problème est récurrent et viens de l'imprimeur, tu regarde si c'est de ta faute (pas envoyé les fichiers à la bonne date, pas bon format qui demande de tout reprendre pour lui) ou si c'est de la sienne (mauvais conditionnement, délais non tenus, qualité médiocre qui demande un retirage...)
Si c'est de ta faute tu t'améliores si c'est de sa faute et qu'il ne fait rien pour s'améliorer, tu changes d'imprimeur.
Au final on finit par se demander si ils avancent vraiment dessus ou si ils sont trop occupés à retaper leur yacht de 75 m...Ils n'ont pas ce genre de problème, ils ont des domestiques pour ce genre de basse besogne...un peu comme les organisateurs de conv'.
Là ou je tique, c'est que je pensais que black book était composé de gens qui faisaient ça en extra, avec un vrai boulot à côté pour manger. Il y a peu, j'ai cru comprendre que certains membre vivaient de l'édition chez BBE. L'entreprise se veut elle pro ou semi-pro au final ? Ce genre de choses conditionne à mon sens pas mal les attentes qu'on peut en avoir.
Là ou je tique, c'est que je pensais que black book était composé de gens qui faisaient ça en extra, avec un vrai boulot à côté pour manger. Il y a peu, j'ai cru comprendre que certains membre vivaient de l'édition chez BBE. L'entreprise se veut elle pro ou semi-pro au final ? Ce genre de choses conditionne à mon sens pas mal les attentes qu'on peut en avoir. BichettePersonne ne vit de l'édition chez BBE Tu as mal compris je pense : certains effectivement travaillent à côté et donnent de leur temps libre, ceux qui ne travaillent que pour BBE n'en vivent pas je te le garantis. Même le boss.
Raven : bah je rigole d'un peu tout de toutes façons :cool:
Si c'est de ta faute tu t'améliores si c'est de sa faute et qu'il ne fait rien pour s'améliorer, tu changes d'imprimeur. RavenMême si en réalité, on se doute bien que ce n'est pas aussi simple que ça. Vu le nombre de tirages pour un bouquin de jeu de rôles, si l'éditeur veut faire un minimum de marge et faire en sorte que son bouquin ne soit pas hors de prix, j'imagine qu'il n'a pas vraiment toute latitude dans le choix d'un imprimeur. Le livre de base de Pavillon Noir à 42 euros, ça le classe déjà tout de suite en dehors de la zone "achat d'impulsion"* – en ce qui me concerne en tout cas – alors s'il faut qu'il soit à 50 euros pour être imprimé chez quelqu'un qui vous garantisse une livraison en tant et en heure et une qualité parfaite, je comprends que l'éditeur essaye de faire baisser le prix.
* Où l'on me répondra que c'est aussi bien, parce que ce n'est pas un jeu d'impulsion, ce qui est fort possible, mais je n'avais que cet exemple sous la main. Où l'on me répondra aussi peut-être qu'en fait non, c'est un prix normal pour un bouquin de jeu de rôles en France, ce qui est fort possible aussi parce que j'achète en VO, donc je ne suis pas forcément au courant des tarifs pour la VF. Enfin, si c'est le cas, chapeau quand même aux éditeurs qui arrivent à vivre de ce métier.
Enfin, tout ça pour dire que si on ne tire qu'à 2 ou 3000 exemplaires et qu'on veut un imprimeur qui n'a pas de problème de camions qui tombent dans le fossé ou de bateaux qui coulent au fond de l'océan, il faut probablement payer très cher.
J'ai déjà fait une remarque qui a fait rire Grand Stratéger, mais elle est à moitié sérieuse. Ca viens de mes expériences des projets auxquels j'ai participé.Je vois de quoi tu parles, pour être moi-même intégrateur en ingénierie logicielle dans un centre R&D. Bref, la qualité et le process, les metrics, les REX, etc., j'en bouffe quotidiennement et in English. :lol:
Tu fait un découpage des étapes et tu regardes combien de temps ça ta pris (et si tu as eut une phase vide) et lesquelles ont posé problème. Raven
Si c'est de ta faute tu t'améliores si c'est de sa faute et qu'il ne fait rien pour s'améliorer, tu changes d'imprimeur. RavenSauf que :
- tout "tracker" prend du temps, et que tout le monde est déjà charrette dans ce milieu entre sa vie professionnelle qui le fait manger, sa vie privée/sociale (quoi-ça, superflu ? :lol:) et s'arracher à faire le lien entre tous les intervenants pour sortir des JDR (ce dernier point c'est surtout pour David et ses hommes en noir). Ca veut pas dire qu'il faut pas faire un minimum ou qu'on veut pas le faire, mais que c'est pas si simple.
- chaque action "d'amélioration" a son propre coût en temps, sans garantie. Un éditeur de JDR face à un imprimeur, c'est un tout petit client. Une fois qu'on en tient un qui rend un boulot propre, on a tendance à essayer de pas se fâcher avec. Aucun imprimeur ne garantira de délais (ou laors, c'est qu'il a faim, et donc qu'il est plutôt mauvais). Démarcher des imprimeurs à prix raisonnables et de qualité demande une énergie et un temps considérables, un luxe qu'un éditeur de JDR ne peut se payer tous les ans.
- on parle d'un milieu créatif, avec des notions de copyrights, des licences, etc. et des ayant-droits états-uniens. Les contrats, c'est long et fastidieux à signer, avec très peu de contrôle sur les délais.
- enfin, faut remettre le contexte à son échelle : des micro-entreprises dans un micro-marché, travaillant avec des entreprises plus grandes qui ne les considèrent souvent pas exactement comme des "grands comptes". Il est donc difficile d'avoir une communication claire, fiable et facilement accessible vis-à-vis des boutiques.
Bref, comme dirait un grand black en pyjama, il y a une grande différence entre connaître le chemin, et arpenter ce chemin
Et a postériori tu regarde où ça a coincé. C'est un des rôles des chefs de projet/chef d'entreprise, non ? Sinon c'est de l'apprentissage par l'erreur sous Alzheimer...
Pour 1 jeu, je veux bien croire qu'une entreprise de JdR n'est pas prise au sérieux ; mais là ils ont combien de gammes ? même si les tirage sont anecdotiques pour un imprimeur, ça se cumule. Et après c'est aussi aux éditeurs de JdR (dans leur ensemble, genre regroupement) de voir s'ils ne peuvent pas négocier auprès d'un imprimeur pour 2 ou 3 éditeurs (genre BBE, 7C, John Doe,...). C'est si utopique de penser que des gens puissent bosser dans le même sens (le leur) ?
Ha ? Pourquoi ?s'il faut qu'il soit à 50 euros pour être imprimé chez quelqu'un qui vous garantisse une livraison en tant et en heure et une qualité parfaite, je comprends que l'éditeur essaye de faire baisser le prix. FayriesHan, cette pique très aiguisée envers BBE est d'une fourberie sans bornes! =D Tosheros
Hum la bonne excuse... Ca ne prends pas des plombes de regarder toutes les étapes. Je ne te parles pas de faire un cahier des charges ou de donner des délais ; là je parle juste de marquer la date de début et la date de fin pour chaque étape. RavenC'est déjà difficile de le faire appliquer dans des entreprises aux budgets à sept chiffres, où les gens sont payés pour le faire, donc je ne pense pas qu'il s'agisse d'une excuse. C'est une explication.
Honnêtement, je pense que c'est fait informellement (tu sais, quand David se retourne dans son lit parce qu'il a du mal à trouver le sommeil parce que sa licence fétiche est en suspens pour de la paperasse, que son imprimeur lui fait un nouveau "caprice" et qu'il pu lire des pages de post dythirambiques à propos de son professionnalisme ), et le résultat est toujours plus ou moins le même : dépendance totale des ayant-droits en cas de (re)signage de contrats, de l'imprimeur concernant les délais d'impression, du distributeur ensuite (mais j'ai jamais eu d'échos de soucis de ce côté). Et encore, ça pourrait être pire, les micro-entreprises n'étant souvent pas non plus sur la VIP-list des banques.
A part adopter une philosophie zen, ou trouver le moyen de vendre de gros tirages de chaque bouquin pour devenir un "bon client", y a pas grand-chose à faire.
Pour 1 jeu, je veux bien croire qu'une entreprise de JdR n'est pas prise au sérieux ; mais là ils ont combien de gammes ? même si les tirage sont anecdotiques pour un imprimeur, ça se cumule. RavenEt c'est probablement ce qui permet de trouver des imprimeurs acceptant de bosser proprement à des prix raisonnables pour ce type de tirages.
Et après c'est aussi aux éditeurs de JdR (dans leur ensemble, genre regroupement) de voir s'ils ne peuvent pas négocier auprès d'un imprimeur pour 2 ou 3 éditeurs (genre BBE, 7C, John Doe,...). C'est si utopique de penser que des gens puissent bosser dans le même sens (le leur) ? RavenAvec toute la bonne volonté du monde, on parle tout de même de concurrents dispersés aux "quatre" coins de l'Hexagone :lol: