[ETU - MJ Only] Les Diplômes de l'Horreur 71
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Merci beaucoup Maedh, XO et Fenris pour vos réponses !
Pour la scène avec l'esprit frappeur, je pense avoir ce qu'il faut. Une montée en puissance avec la capacité Télékinésie. La motivation de l'esprit frappeur est d'abord d'effrayer, quand les étudiants vont parler de chercher une solution pour le bannir il va devenir plus agressif : fermer les portes dans le nez des étudiants, leur projeter des objets, faire tomber la vaisselle des placards... et arriver à un résultat proche de ce que tu as eu avec ton équipe, Maedh.
Pour des indices sur place, peut-être des signes ésotériques gravés sur le mobil-home, et des voisins qui ont vu une dame les gratter pendant que la famille était au travail.
Pour le pendant trafic de stupéfiants, le joueur qui joue Jake, le revendeur à la sauvette s'est inspiré du personnage de Breaking Bad (chimiste qui fait lui-même ses mélanges). Il se limite aussi aux drogues récréatives pour garder une bonne ambiance sur le campus, donc un peu dans l'esprit de ta proposition de jeu, XO.
J'ai envie de le confronter à des narcotrafiquants plus organisés pour avoir une petite guerre de territoire, et de lui opposer des méthodes différentes (drogues plus dures, intimidation, armes à feu...). J'imagine le couple envoyés ici par une organisation plus importante pour tester le terrain.
Quand la fin d'année va approcher, le couple fera partie des victimes de l'Epingleur avant l'épisode de J. Green. S'ils ont eu d'autres déboires avant (je compte sur les joueuses) et que les ventes ne suivent pas, l'organisation mafieuse ne va pas les remplacer.
Séance 3 : Chasse aux Fantômes II – nuit du vendredi, journée du samedi
La nuit continue dans le mobil-home de Jaime Contreras, et les événements étranges également. Jake, Kaeja, Martha et Vassilipus tentent de communiquer avec l'entité qui empile des gobelets, crée des zones de froid, vide les batteries, casse des verres. Kaeja se concentre et sent une présence, Martha essaie de leur parler en espagnol, Vassilipus étale des feuilles de thé sur la table en espérant obtenir un message. Jake, en bon sceptique, se contente de hausser les épaules et va vérifier que le couple de parents est bien en train de dormir. Johnny Chafe, qui espérait passer une soirée avec sa nouvelle copine, est terrifié. A chaque fois que le groupe concentre son attention, l’agitation paranormale se calme. Et dès qu’ils se relâchent, de nouveaux bruits et mouvements sont ressentis. Un appel dans le couloir. Des coups semblant venir de l’extérieur. Les feuilles de thé s’envolent brusquement alors qu’aucune fenêtre n’est ouverte et Vassily est seule à entendre un rire féminin. Kaeja, alors qu’elle feint de s’endormir, les yeux mi-clos, aperçoit un visage à la fenêtre qui les regarde, puis plus rien. Evidemment, personne dehors.
Les étudiants se décident à réveiller Jaime Contreras. Martha prend le temps de discuter avec l’homme, elle cherche à voir si les événements qui se produisent ont un sens. Objets que l’on retrouve dans des endroits incongrus, bruits, cris, visions fugaces. Jaime est épuisé. Depuis combien de temps ? Environ dix jours. Y a-t-il eu quelque chose de remarquable ? Il hésite, le groupe insiste. Son ex-femme lui a demandé de revenir, il l’a rejetée.
Le groupe part en conjectures (une vengeance ? est-ce qu’elle va bien ? se serait-elle suicidée ?) Les étudiants obtiennent l’adresse et le téléphone de la femme, Shirley Ferreira à Pinebox. Ils envisagent de l’appeler pendant la nuit, mais les batteries de leurs téléphones portables sont vidées, et Jaime refuse que l’appel ait lieu depuis chez lui.
Lorsque Kaeja exprime la possibilité de demander à sa grand-mère de chasser les mauvais esprits, la température chute ostensiblement de plusieurs degrés. Les étudiants passent la fin de la nuit sur place, sans nouvel incident notable. Au matin, Johnny rentre chez lui, piteux de cette première soirée désastreuse avec Vassily. Les autres, malgré leur manque de sommeil, vont dès leur départ du mobil-home faire une visite à la grand-mère de Kaeja, Janet Lacombe.
Ils entrent dans l’épicerie, et passent devant la vieille Louise, qui tient la caisse, toujours aussi peu causante. Ils racontent leur soirée et regardent ensemble les vidéos et enregistrements. Rien de très probant : quelques sons, quelques jeux de lumière, qui donnent plus l’impression de problèmes techniques que de phénomènes paranormaux. Janet est plus intéressée par leurs ressentis, et admet qu’il y a quelque chose de pas net. Elle accepte d’accompagner le groupe à leur deuxième soirée prévue dans le mobil-home.
Les trois jeunes femmes partent faire une sieste avant d’attaquer la suite de la journée, tandis que Jake fait « quelques courses ». Ils se rendent ensuite ensemble à l’adresse de l’ex-femme de Jaime, Shirley Ferreira. Ils prétendent faire une étude de sociologie sur les femmes élevant leurs enfants seules. Vassily mène la conversation. Shirley, d’abord mal à l’aise, finit par se confier et parle de sa séparation, de la difficulté d’élever leur petit depuis le départ de son ex, et de sa mère, sans qui elle aurait du mal à passer le cap.
Ils enchaînent naturellement chez cette femme, Anna Ferreira, qu’ils trouvent dans une petite maisonnette en bois en bordure de forêt. Ils l’abordent en reprenant l’idée de l’enquête en sociologie demandée par l’université. Cette fois-ci c’est Jake qui s’y colle. La femme les reçoit sèchement sur le pas de la porte et répond à leurs questions de mauvaise grâce, jusqu’à ce que Kaeja lui demande de l’eau. Radoucie, la vieille femme invite le groupe à prendre un thé, et leur parle entre autres de son ex-gendre qui a tant fait souffrir sa fille et son petit-fils. Vassily repère dans l’abondance de plantes qui servent à faire des décoctions, et dans la bibliothèque des livres traitant d’astrologie, de mysticisme et de wiccanisme. Le groupe repart en remerciant pour la discussion.
Très content de cette séance ! La première partie, la fin de la nuit avec les événements surnaturels, a été jouée à fond par notre groupe : lumière tamisée, musique angoissante (une des joueuses s'occupe de faire des playlists adaptées au thème avec différentes ambiances). C'est la première fois depuis que je maîtrise qu'on arrive à se faire vraiment peur pendant une partie de jdr : la tension était palpable ! Franchement, merci aux concepteurs et traducteurs de ce jeu, rien que pour ça
La séquence d'enquête était sympa ensuite. J'aurais aimé avoir une intrigue un peu plus poussée pour alimenter les discussions, et plus d'indices dans la maison même auraient fait plaisir aux joueuses. Pour la scène "d'action" je me la réserve pour la prochaine fois : quand le groupe va venir pour bannir les esprits, ces derniers vont résister et progressivement sortir le grand jeu. Les portes vont claquer dans le nez des personnes, la vaisselle et couteaux vont voler à travers la pièce. Mémé va se prendre une soupière sur le crâne et va devoir être évacuée, mettant fin aux préparatifs de rituel. Aux joueuses de trouver alors une solution (par exemple retourner voir l'ex-belle-mère dans la cabane).
Une fois ce scénario terminé, je pense enchaîner avec le scénario Un Joli Sourire (comme toi Maedh ). Cela remettra une touche de surnaturel plus léger. Et je vais aussi essayer de poser un cadre de Rush Week des fraternités et sororités.
Ensuite j'enchaînerai probablement avec Retour au Perchoir. Il ne faut pas que j'oublie de commencer les cauchemars du fantôme de Nina.
Je prépare doucement la prochaine séance, qui va commencer par une tentative de Bannissement des mauvais esprits dans le bungalow de Jaime Contreras, mené par la grand-mère de Kaeja, praticienne vaudou. Elle a distribué un texte à chacun pour qu'ils répètent après elle des mots de pouvoir. L'enfant va dans sa chambre et les parents dans la leur : ils ne sont pas très rassurés de ces pratiques occultes.
Pour jouer le rituel, je pense faire faire une Scène Dramatique, mais en quatre rounds et six succès plutôt que trois et quatre succès (pour avoir le temps de mettre en place ma mise en scène, et je n'ai pas envie que sur un bon jet la scène disparaisse... sur un super bon jet je serai beau joueur ).
- Avant le tour 1 : pendant la préparation, on sent des présences furtives et une forme de pression, d’agitation. La vaisselle tremble dans les tiroirs…
- Tour 1 : l’enfant du couple dit « Maman, il y a un monsieur près de mon lit ». Les parents tentent d’ouvrir leur propre porte, mais elle est fermée à clé
Quand un personnage entre dans la chambre du petit, une armoire lui tombe dessus (jet d’Evitement), et bloque la porte, enfermant les deux à l’intérieur. Il n'y a personne d'autre que l'enfant dans la chambre.
Si les personnages tentent d'ouvrir la porte des parents, elle est effectivement bloquée. Au tour suivant elle sera envoyée violemment dans la figure d'un des personnages.
- Tour 2 : Des verres se fracassent contre les murs, des objets commencent à voler. Une soupière tombe sur la tête de la grandmère qui mène le rituel, elle est Sonnée (et potentiellement Blessée).
- Tour 3 : Coupure d’électricité dans le bungalow, une Tempête spectrale se forme à l’intérieur du living.
A la lumière des téléphones portables, on peut voir furtivement une autre personne à côté des étudiants... puis à mieux y regarder, personne.
- Tour 4 : La Tempête continue, on entend un long cri de plusieurs voix très aigües (jet de Terreur)
L'idée de l'appel de l'enfant est de faire entrer un personnage dans sa chambre et gérer le gamin pendant que les autres s'occupent de la pièce principale. J'avais d'abord pensé faire tomber l'armoire l'enfermant dans sa chambre avant que quelqu'un puisse entrer, mais je pense que ce sera trop angoissant pour l'une des joueuses à la table.
La grand-mère aura eu le temps de faire un jet d'Occultisme avant de se prendre la soupière, peut-être deux. Soit les étudiants autour tentent de mener le rituel à son terme en lisant les mots de pouvoir tant bien que mal, soit ils tentent d'évacuer tout le monde avant qu'il y ait des blessés.
Quand tout le monde est sorti du bâtiment, tout redevient étrangement calme.
De là, il faudra gérer la mère-grand (peut-être l'envoyer aux urgences), et finir le boulot pour les esprits. J'imagine qu'ils vont retourner voir la sorcière Anna, pour régler le problème à l'amiable (ou pas). Si Anna apprend que son rituel a fait du mal à quelqu'un elle sera sincèrement désolée (même si une partie d'elle-même trouve tout de même que c'est bien fait pour son ex-beau-fils).
Voilà où j'en suis. Si vous avez des idées pour compléter la scène ou des commentaires, n'hésitez pas, je suis preneur !
Hier soir j'ai fini de maîtriser le scénario Bloodlines que j'ai intégré aux Diplômes... Quelle claque!
C'est une master class en termes d'écriture, il y a du rebondissement à gogo et tout est fait pour simplifier la tâche du MJ (les check-lists en fin de chaque section : du génie).
On l'a fait en trois séances de 3 à 4 heures, c'était très satisfaisant à mener (j'ai tendance à m'emmêler les pinceaux en répondant trop vite aux questions, mais là pas de problème), et aussi à jouer si j'en crois ma table, pourtant pas forcément très branchée enquêtes. J'ai quand même dû les recadrer de temps en temps pour éviter qu'ils se dispersent dans tous les sens.
Pour qui maîtrise l'anglais c'est vraiment un must à mon avis.
PS : j'ai aussi fait jouer Last Rites, qui est également très bien (quoique plus ramassé et classique, il se fait en 2 séances).
Séance 4 : Chasse aux Fantômes III – nuit de samedi, dimanche
Martha est absente. Elle a laissé un message pour dire que tout va bien, mais elle ne sera pas là du weekend. Sont présents Jake, qui n'est étudiant en études générales que comme couverture pour fournir en drogue la moitié du campus ; Kaeja, une étudiante en informatique sensible au paranormal, avec une famille qui a du mal à lâcher leur petite, et une grand-mère qui pratique le vaudou ; Vassilipus, une étudiante en botanique qui souhaite relier l'art et les plantes, et s'exprime en alexandrins.
Jake, Kaeja et Vassilipus se rendent au mobil-home de Linda Smith et Jaime Contreras, pour leur deuxième nuit pour étudier les événements paranormaux. Ils sont accompagnés de Janet Lacombe, la grand-mère de Kaeja, qui s’est proposée pour renvoyer les esprits là d’où ils viennent.
Dans l’habitation, l’enfant, Nathan, est déjà au lit. Le couple Contreras-Smith propose à boire aux invités, puis les laisse faire leurs préparatifs et se réfugient dans leur chambre. La grand-mère mène le groupe, leur dit quoi faire, et prépare la pièce pour un rituel. Os, plumes, bougies… Pendant l’installation, on ressent des présences furtives, des courants d’air, et un sentiment d’agitation. Janet entonne un chant en cajun, repris en chœur par le groupe d’étudiants. Soudain l’enfant dans la chambre dit « Maman, il y a un monsieur près de mon lit ! ». Jake va pour le rassurer, et se prend une étagère sur la figure, heureusement sans dégâts. Dans la pièce il n’y a personne. Les parents essaient d’ouvrir leur porte mais sont enfermés. La cérémonie continue malgré tout dans la pièce principale, alors que des objets commencent à tourbillonner. Chacun tient, jusqu’à ce qu’une soupière tombe sur la tête de Janet. Elle saigne et est sonnée. C’est Kaeja qui reprend la litanie, ou en tout cas ce qu’elle en a compris. Vassilipus fait un cataplasme pour contenir la blessure de la grand-mère, qui les exhorte à continuer, et se met en position de soutenir le rituel. Des objets volent en tous sens, un cri suraigu se fait entendre. Jake invite l’enfant à répéter avec eux, et ce dernier suit le mouvement, et est même d’une grande aide. Mais, alors que tout semble s’apaiser, la langue de Kaeja fourche, elle s’emmêle dans les paroles, et la tempête spectrale reprend de plus belle. Le rituel est raté. La peau de Kaeja vire au blanc tandis que celle de Vassilipus devient noire. L’enfant se prend une fourchette dans le bras et hurle, les étudiants évacuent les lieux en panique. Comme les parents ne peuvent pas sortir de leur chambre, Vassilipus casse une fenêtre pour les aider à sortir. Tout le monde file alors vers les urgences pour soigner l’enfant, la grand-mère de Kaeja et les coupures superficielles des parents qui sont sortis en panique. Chacun va se coucher, la famille Contreras dans leur voiture.
Le lendemain, les étudiants vont au culte protestant mené par le révérend Michaels. Jake a quelques clients réguliers dans la chorale, et réussit à les convaincre de les rejoindre le soir. Vassy et Kaeja vont voir le pasteur directement, qui prend les choses au sérieux et accepte de réaliser un exorcisme sur les lieux.
Le soir dans le bungalow, ce sont donc des chants chrétiens qui résonnent dans le camp d’été indien. La chorale est venue en force, et c’est le révérend Michaels qui dirige le groupe. Mais pendant le rituel, l’impensable se produit. Les yeux du révérend se révulsent, il se fige… l’esprit qui hante les lieux prend possession du révérend. La chorale panique, et commence à quitter les lieux, d’autant qu’une tempête spectrale reprend, qui blesse Vassilipus. Les filles profitent de la possession du révérend pour parler avec lui. Elles retirent quelques informations : il est lié, par contrat, à hanter les lieux. Sa mission ? Effrayer. Son paiement ? Le droit de rester ici et ne pas retourner là d’où il vient.
Jake exhorte la chorale à continuer à chanter, ce qui affaiblit l’emprise de l’esprit. Le groupe se rend compte que la chambre du petit est épargnée par la tempête, et ils emmènent le révérend à l’intérieur. Et là, Kaeja rassemble ses souvenirs et chante le rituel entonné par sa grand-mère la veille, seule, et avec force.
Là, d’un coup, c’est comme si l’air devenait d’un coup plus léger. Un bref coup de vent vers le haut, les objets qui volaient retombent au sol, et tout redevient calme, apaisé. Le révérend tombe au sol, sort de transe. Il se relève avec un grand sourire, et se félicite, puis félicite ses choristes pour cet exorcisme réussi dans les règles de l’art. Tout le monde se congratule, remercie le révérend et repart avec le sentiment du devoir accompli.
La semaine suivante, quand Kaeja raconte à sa grand-mère ce qui s’est passé, Janet Lacombe félicite sa petite-fille pour le rituel qu’elle a réussi. « Tu as de vraies capacités et je t’enseignerai ce que je sais, quand tu seras prête. » Vassilipus se repose et soigne ses blessures avec des plantes.
Jake et Kaeja retournent voir Anna, la sorcière dans la cabane, pour voir si quelque chose a changé chez elle, toujours avec l’excuse de l’enquête de sociologie. Celle-ci apprécie la visite des étudiants, et parle tranquillement avec eux. Le doute plane dans la tête des étudiants sur son implication dans les événements du weekend.
Après pile poil 1 an de jeu, mes joueurs ont fini leur première année universitaire et deviennent maintenant des Sophomores. Ca aura été une année dure en émotions, en découvertes et en aventures humaines ou surnaturelles de toutes sortes. Avec des arrivées de nouveaux joueurs, des départs d'autres. Mais franchement une découverte d'un setting exceptionnel et pleins de possibilités. Je fais jouer la campagne officielle, autour de laquelle j'ai brodé énormément de choses surtout sur l'historique de la région de Pinebox et les causes de ce qui s'y passe. Je vais devoir maintenant préparer leur deuxième année, en ayant comme optique d'être aussi cohérent et logique, mais surtout en cherchant à leurs laisser un maximum de liberté car au final, ce sont eux qui ont créé l'histoire et lui ont donné tant de puissance. En attendant septembre et leur rentrée des classes, on part sur du Pinebox MIddle School histoire de ne pas perdre la main.
On va reprendre la suite des aventures de nos étudiant.e.s dans les semaines à venir.
J'aimerais reprendre la campagne avec le scénario Un Joli Sourire. Et je me heurte au même dilemme qu'avec le scénario précédent : Chasse aux Fantômes.
Mon groupe apprécie avant tout l'exploration, l'enquête : découvrir le monde et comprendre les situations. Et j'ai l'intuition que je vais manquer de matière pour le passage à l'intérieur du tableau. Des choses à visiter, à découvrir, plus d'interaction que la baston avec l'épouvantail et la porte de sortie à son pied.
Une fois de plus, je sollicite votre imagination débordante pour donner plus de profondeur à cette scène, (que je trouve de plus très inspirante !), des conseils pour la mener ou des retours d'expérience.
Merci d'avance, et bon jeu !
- Space Calamar
Dans le tableau, sur le principe, c'est une zone restreinte, je ne vois pas de possibilité de "visiter" des lieux ou de découvrir un monde caché.
J'ai plus accès le tableau sur le sentiment de claustrophobie, de danger, avec l'épouvantail qui traîne, qui disparait, et qui n'est pas, lui, restreint ni freiné par le maïs. La solution est au pied du support de l'épouvantail ? Soit, mais ce dernier ne va pas forcément les laisser approcher et voir "l'indice".
Et puis, une moité du groupe en-dehors, une à l'intérieur... si le premier groupe se débrouille mal, rajouter d'un coup pour ceux dans la toile le ciel qui s'obscurcit, noir sombre, trait par trait... limitant encore leur espace, leur visibilité...
Les laisser "tuer" l'épouvantail... Youpiiiiii.... et dans leur dos, il se relève, doucement....
Merci pour ton retour Space Calamar. Pour l'ambiance de claustrophobie et la confrontation avec un épouvantail angoissant, on est d'accord.
Et en effet, je ne souhaite pas agrandir la zone, j'aimerais juste augmenter le nombre de possibilités à l'intérieur du tableau, voire idéalement avoir une petite série d'indices qui mènent à chercher au pied de l'épouvantail. Je pense que cela ravirait les joueuses.
Je pense qu'avec l'épouvantail, faire une petite recherche d'indices, ca n'est pas trop adapté. C'est comme être dans une petite arène de cirque sans échapatoire avec un lion affamé aux fesses.
Le support de l'épouvantail est peut-être à décrire ou à citer comme la seule chose dans ce paysage qui n'est pas du maïs ?