[Bla bla] De vous à nous... 1987
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Est-ce que la BD est meilleure que le film ?
Y a une dizaine d'années, je suis complètement passé à côté de Walking Deads. Heureusement, un ami m'a prêté les premiers volumes de la BD, et là ce fut le déclic. Peut-être est-ce la même chose dans ce cas précis.
- Senrad
- et
- Hamilcar35359
Le filmavait des qualtés. C'est quand même Bong Joon Ho, mais le propos est sans doute moins personnel que dans ses précédentes œuvres, sans doute parce que Snowpiercer est trop international et une trop grosse production.
Aller voir ses pépites antérieures : memories of murder, The host
Ce matin, je lis ça :
Très beaux dessins, efficaces, et une histoire de magie qui se met en place.
Et ça
Dessins somptueux, en hommage à l'école de Marcinelle, avec apparition de Franquin dans un rôle secondaire, et même de Jidéhem.
Merci ma femme!
La BD est très supérieure au film pour moi. Après je n'aime pas les films sf asiatiques, notamment coréen, qui ont un côté grand spectacle plus ou moins gore gratuit. C'est sans doute pas très clair . En gros, la BD est noire mais sans tout montrer; c'est plus intello à la française peut-être quoi . L'ambiance est terrible, un peu à la Compagnie des glaces.
Je viens de regarder, j'en ai que 53 (mais je ne cherche pas forcément à tous les avoir), par contre les miens sont de chez Fleuve noir (achetés à l'époque). En récent, je n'ai que la version "collector" de la guerre de la lance (qui est très bien avec les notes sur le bord des pages).
- Utilisateur anonyme
[citation supprimée]
Edwin, mon ami, le Sud c'est vaste. Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes
- alanthyr
- et
- Utilisateur anonyme
[message supprimé]
Pour moi, le problème est la perception très "premier degré" de la cancel culture. Bettelheim déjà faisait remarquer qu'en expurgeant de leur violence (parfois extrême) certains contes destinés aux enfants, on leur enleve tout pouvoir cathartique. Se refuser à dire la violence, la haine, l'horreur, à se confronter à elles, à rire d'elles, à jouer symboliquement avec elles, c'est se désarmer face à elles.