Présentation de Polaris dans... Dragon Rouge n°1 ! 17
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Pour infos, Damien C., je n'ai aucune participation dans le mag ou l'éditeur de ce nouveau mag.
Je pensais même que vous alliez en faire échos pour attirer de nouveaux joueurs à Polaris.
C'était juste une information dont je pensais que les fans de Polaris pouvaient se réjouir.
Merci de ne pas détourner mon post en post publicitaire dont franchement personne en a à faire.
C'était juste une info, point final.
Je pensais même que vous alliez en faire échos pour attirer de nouveaux joueurs à Polaris.
C'était juste une information dont je pensais que les fans de Polaris pouvaient se réjouir.
Merci de ne pas détourner mon post en post publicitaire dont franchement personne en a à faire.
C'était juste une info, point final.
Désolé Damien pour mon ton agressif, je ne le souhaitais pas.
C'est une malheureuse histoire de malentendus comme il en arrive dans les forums. Sorry
En tout cas, je suis content de voir Polaris traité dans un magazine de jeu de rôle tout comme il y a eu dans "Jeu de rôle Magazine" n°1, 5 petits inserts sur les jeux édités par BBE et une page complète sur Pathfinder !
Serait-ce le renouveau du JdR en France ?
C'est une malheureuse histoire de malentendus comme il en arrive dans les forums. Sorry
En tout cas, je suis content de voir Polaris traité dans un magazine de jeu de rôle tout comme il y a eu dans "Jeu de rôle Magazine" n°1, 5 petits inserts sur les jeux édités par BBE et une page complète sur Pathfinder !
Serait-ce le renouveau du JdR en France ?
Espérons :-)
Cependant, selon moi, et malgré les mauvais augures, le jdr n'est jamais mort en France. Il vit juste les turpitudes et les conséquences du renouveau des loisirs ludiques en général. Le Jeu( avec un grand J, en tant que domaine) a changé et change toujours d'ailleurs donc le jdr évolue et change lui aussi. Pour autant, il ne décline pas vraiment. Il mute. Il passe par exemple du format papier au format électronique. La création amateur n'a jamais été aussi féconde et réactive. A l'heure actuelle, les éditeurs professionnels doivent s'y adapter ou abandonner. Etc...
La création des mags actuels ne fait selon moi que partie d'une autre étape de l'histoire (souvent tourmentée) du jdr. En fait, on vit une période charnière car du cocon de ces dernières années va éclore une nouvelle manière de concevoir notre loisir préféré.
Et vous, vous en pensez quoi
Cependant, selon moi, et malgré les mauvais augures, le jdr n'est jamais mort en France. Il vit juste les turpitudes et les conséquences du renouveau des loisirs ludiques en général. Le Jeu( avec un grand J, en tant que domaine) a changé et change toujours d'ailleurs donc le jdr évolue et change lui aussi. Pour autant, il ne décline pas vraiment. Il mute. Il passe par exemple du format papier au format électronique. La création amateur n'a jamais été aussi féconde et réactive. A l'heure actuelle, les éditeurs professionnels doivent s'y adapter ou abandonner. Etc...
La création des mags actuels ne fait selon moi que partie d'une autre étape de l'histoire (souvent tourmentée) du jdr. En fait, on vit une période charnière car du cocon de ces dernières années va éclore une nouvelle manière de concevoir notre loisir préféré.
Et vous, vous en pensez quoi
J'ai acheté et j'ai lu Dragon Rouge. C'est plutôt un bon magazine (voir mon blog à ce sujet : www.dicepower.blogs pot.com). La présentation de Polaris y est courte mais bien ficelée. De plus, le scénario proposé un peu plus loin convient bien à une initiation en douceur. Il n'est pas transcendant mais l'idée de base est cohérente et les événements présentés intéressant à jouer.
Bah à franchement regarder cette passion qu'est le jeu-de-rôle, avec les années (mince ... 17 ans déjà de fait parmi les livres et les dés ... le temps passe), je dois avouer que le jdr se doit d'évoluer et de correspondre à l'avancée des plaisirs ludiques.
Nous voyons l'émergence des mmorpgs (dont je fais parti), qui bien qu'étrois dans les possibilités offertes en comparaison du jeu sur table, reste un outil d'approche de notre passion. J'ai rencontré des nouveaux joueurs qui curieux de connaître ce qu'était l'ancêtre de leur jeu informatique, se sont assis à une table et ont participé avec les vieux briscars.
D'autres ont compris que vouloir éditer son jeu, ne passe pas forcément par l'intervention d'un éditeur, mais peut se faire via les forum, sites et autres outils que nous fournit l'informatique. C'est ainsi que nombre d'amateurs nous livre une vision de leur passion et tente de la faire vivre à d'autres.
Le jeu-de-rôle et les magazines (resquiescat in pace Casus Belli ... snif), sont obligés de s'adapter pour ne pas disparaître au rang des reliques d'un passé qui se refuse à avancer. Donc à ce qui déplore le passé, ne le soyez pas, mais voyez plutôt cette nouvelle ère du jdr, comme une opportunité de mieux nous faire connaître afin que les dérives de certains ne soient plus agrémentés de l'estampille "voilà ce qu'est un rôliste" (c.f les agressions su professeur Abgrall sur le jeu de rôles il y a de celà quelques années).
Sur ce, bon jeu à tous. Et que le plaisir ludique soit avec vous
Nous voyons l'émergence des mmorpgs (dont je fais parti), qui bien qu'étrois dans les possibilités offertes en comparaison du jeu sur table, reste un outil d'approche de notre passion. J'ai rencontré des nouveaux joueurs qui curieux de connaître ce qu'était l'ancêtre de leur jeu informatique, se sont assis à une table et ont participé avec les vieux briscars.
D'autres ont compris que vouloir éditer son jeu, ne passe pas forcément par l'intervention d'un éditeur, mais peut se faire via les forum, sites et autres outils que nous fournit l'informatique. C'est ainsi que nombre d'amateurs nous livre une vision de leur passion et tente de la faire vivre à d'autres.
Le jeu-de-rôle et les magazines (resquiescat in pace Casus Belli ... snif), sont obligés de s'adapter pour ne pas disparaître au rang des reliques d'un passé qui se refuse à avancer. Donc à ce qui déplore le passé, ne le soyez pas, mais voyez plutôt cette nouvelle ère du jdr, comme une opportunité de mieux nous faire connaître afin que les dérives de certains ne soient plus agrémentés de l'estampille "voilà ce qu'est un rôliste" (c.f les agressions su professeur Abgrall sur le jeu de rôles il y a de celà quelques années).
Sur ce, bon jeu à tous. Et que le plaisir ludique soit avec vous
De plus, le scénario proposé un peu plus loin convient bien à une initiation en douceur. Il n'est pas transcendant mais l'idée de base est cohérente et les événements présentés intéressant à jouer. trickytopheLe but était en peu de signes (moins de 26000) de faire un scénar pour débutants
aussi bien MJ que PJ.
J’ai bien aimé le scénario qui mélange assez bien intrigue, action et exploration, et qui peut ouvrir sur pas mal de possibilités. Le paragraphe « Equinoxe by night » gagnera toutefois à être étoffé pour présenter le monde de Polaris et offrir un contraste plus saisissant pour la suite. Mais je suis bien conscient de la limite du signage dans un tel exercice.
Bon, mes joueurs auront certainement un peu trop traîné leurs fonds de culottes à Shadowrun ou à Pavillon Noir pour être aussi cool avec leur employeur. Ils sont plus du genre à renégocier leur prime à la découverte de la cargaison, sous peine de le laisser seul avec son magot faire connaissance avec tous les visiteurs indélicats de passage. Pour ne pas dire plus.
Ce qui m’amène à ce point d’expérience « loyal good » pour lui rester fidèle. Pourquoi pénaliser par l’expérience les personnages qui ne le seraient pas ? A eux d’assumer les conséquences de leurs actes et à se montrer assez malin pour négocier au mieux les emmerd… qui ne vont pas manquer d’arriver. Chercher à écouler cette cargaison va les introduire dans les milieux les plus interlopes du marché noir qui n’en demanderont pas tant, et certains niveaux d’Equinoxe ne sont vraiment pas fréquentables…
A sa lecture et au débotté, si je devais faire jouer ce scénario, cela serait sans doute plus personnellement dans l’optique d’une campagne que celle d’une initiation pour laquelle il a été rédigé. En ce cas, je pense que la mine ne recèlera pas une cargaison aussi mirifique mais pourrait révéler tout le potentiel de cette station abandonnée à des personnages un tant soit peu ambitieux. Déçu, leur employeur pourrait alors leur « revendre » ou les personnages passer outre et se l’approprier (et subir la vindicte des relations de leur pauvre employeur).
Remettre en état cette station pourrait alors donner un but, une cohésion au groupe des personnages, une toile de fond à leurs aventures pour financer les travaux nécessaires à « leur » base arrière, avec tous les soucis afférents lors de leurs passages occasionnels : gérer les communautés voisines, refouler les autres « heureux possesseurs » des coordonnées de la station (pourquoi leur ancien employeur serait-il le premier ou le dernier à les avoir acheté ?-), percer le mystère de ses mines ou de son abandon, affronter ou pactiser avec la faune des mers ou des sous-sols, exploiter la station, la gérer, la faire reconnaître, et enfin, en apothéose, découvrir sur leur territoire un dépôt généticien qui attirera l’attention des plus grandes factions de Polaris (mais là, il faut vraiment être méchant !-).
Comme quoi, ce scénario a fait germer son lot d’idées à sa lecture, même au non débutant que je suis. Merci Bubu.
Bon, mes joueurs auront certainement un peu trop traîné leurs fonds de culottes à Shadowrun ou à Pavillon Noir pour être aussi cool avec leur employeur. Ils sont plus du genre à renégocier leur prime à la découverte de la cargaison, sous peine de le laisser seul avec son magot faire connaissance avec tous les visiteurs indélicats de passage. Pour ne pas dire plus.
Ce qui m’amène à ce point d’expérience « loyal good » pour lui rester fidèle. Pourquoi pénaliser par l’expérience les personnages qui ne le seraient pas ? A eux d’assumer les conséquences de leurs actes et à se montrer assez malin pour négocier au mieux les emmerd… qui ne vont pas manquer d’arriver. Chercher à écouler cette cargaison va les introduire dans les milieux les plus interlopes du marché noir qui n’en demanderont pas tant, et certains niveaux d’Equinoxe ne sont vraiment pas fréquentables…
A sa lecture et au débotté, si je devais faire jouer ce scénario, cela serait sans doute plus personnellement dans l’optique d’une campagne que celle d’une initiation pour laquelle il a été rédigé. En ce cas, je pense que la mine ne recèlera pas une cargaison aussi mirifique mais pourrait révéler tout le potentiel de cette station abandonnée à des personnages un tant soit peu ambitieux. Déçu, leur employeur pourrait alors leur « revendre » ou les personnages passer outre et se l’approprier (et subir la vindicte des relations de leur pauvre employeur).
Remettre en état cette station pourrait alors donner un but, une cohésion au groupe des personnages, une toile de fond à leurs aventures pour financer les travaux nécessaires à « leur » base arrière, avec tous les soucis afférents lors de leurs passages occasionnels : gérer les communautés voisines, refouler les autres « heureux possesseurs » des coordonnées de la station (pourquoi leur ancien employeur serait-il le premier ou le dernier à les avoir acheté ?-), percer le mystère de ses mines ou de son abandon, affronter ou pactiser avec la faune des mers ou des sous-sols, exploiter la station, la gérer, la faire reconnaître, et enfin, en apothéose, découvrir sur leur territoire un dépôt généticien qui attirera l’attention des plus grandes factions de Polaris (mais là, il faut vraiment être méchant !-).
Comme quoi, ce scénario a fait germer son lot d’idées à sa lecture, même au non débutant que je suis. Merci Bubu.
le soucis d'un scénario dans un magazine c'est le nombre de signes et là 26000 signes c'est peu donc on peut toujours étoffer
C'est d'ailleurs pour cela que je vais me servir de ce "pilote" pour construire une campagne v3
Si tu veux développer le sujet comme l'a indiqué Damien c'est par ici :
http://www.polaris-site.com/forum/index.php?topic=1044.0
C'est d'ailleurs pour cela que je vais me servir de ce "pilote" pour construire une campagne v3
Si tu veux développer le sujet comme l'a indiqué Damien c'est par ici :
http://www.polaris-site.com/forum/index.php?topic=1044.0
AMI PJ PASSE TON CHEMIN
Très clairement si les PJ trahissent Meldan et vu qu'ils n'ont aucune notoriété (vu que c'est un scénar pour débuter à Polaris) ils risquent deux choses :
- avoir la visite rapide de la guilde de Meldan (qui je le rappelle est un homme influent sur equinoxe et ailleurs)
- et aussi comme prévu dans le scénar des pinces-crabes
Donc je doute qu'ils gardent très longtemps leur bien mal acquis.
En plus une chose importante que les gens oublient vite à Polaris : il est bien plus important dans le monde de Polaris d'avoir des alliés et de bonnes relations que d'être riche, le fait d'avoir un réseau bien établi servira beaucoup plus aux PJ.
Notez que je ne précise pas si le réseau doit être légal ou non
C'est la raison pour laquelle le scénar récompense la fidélité à Meldan, car ce sera un très bon contact pour la suite de leurs aventures
Très clairement si les PJ trahissent Meldan et vu qu'ils n'ont aucune notoriété (vu que c'est un scénar pour débuter à Polaris) ils risquent deux choses :
- avoir la visite rapide de la guilde de Meldan (qui je le rappelle est un homme influent sur equinoxe et ailleurs)
- et aussi comme prévu dans le scénar des pinces-crabes
Donc je doute qu'ils gardent très longtemps leur bien mal acquis.
En plus une chose importante que les gens oublient vite à Polaris : il est bien plus important dans le monde de Polaris d'avoir des alliés et de bonnes relations que d'être riche, le fait d'avoir un réseau bien établi servira beaucoup plus aux PJ.
Notez que je ne précise pas si le réseau doit être légal ou non
C'est la raison pour laquelle le scénar récompense la fidélité à Meldan, car ce sera un très bon contact pour la suite de leurs aventures
Merci pour ces éclaircissements. Je comprends mieux l’importance de Meldan de ce point de vue.
Et je comprends également bien que Meldan ait tout intérêt à cultiver ses relations avec les personnages (des gars qui vont se contenter de moins de 1% de la valeur de la cargaison pour lui laisser tout le reste, après avoir fait le sale boulot et pris tous les risques, cela ne doit pas courir les fonds des mers. Je doute en tous les cas que les pnjs soient en général aussi gentils avec les pjs s’ils devaient organiser eux une telle expédition).
Je ne peux qu’être entièrement d’accord avec toi pour ce qui est du jeu des réseaux (et ce à n’importe quel jeu construit sur la durée d’ailleurs). C’est même un des points essentiels dans l’environnement que j’essaye de créer autour de mes joueurs, avec les différents dilemmes auxquels ils peuvent être confrontés. En one shot, les personnages coincés avec Meldan dans la station alors qu’ils sont assaillis par les pinces-crabes, avec toute cette formidable cargaison à portée de main, pourrait donner un formidable moment de jeu, faire naître une tension palpable née de leurs désirs et instincts. Un moteur dramatique dont ont usé bien des films et des romans.
Après, je relativiserai néanmoins un peu le panel des conséquences pour les personnages. Si les joueurs sont des débutants, et que c’est sans doute la première séance de jeu pour leurs alter ego, ces derniers sont tout de même loin d’être des néophytes dans la plupart des cas. Ils auront connu une plus ou moins longue carrière au terme de leur création, et auront certainement tissé une toile de contacts et d’alliés. Pour reprendre ton exemple au début du scénario, un ancien pirate connaîtra certainement du monde pouvant le conduire à la bonne personne afin d’écouler cargaison et escorteur. Et proposer la moitié de la cargaison à un influent membre de l’Union des Marchands pourrait très bien aplanir les tensions avec ce groupe (oui, je ne place pas de fol espoir dans la nature humaine...)… à eux de construire leurs réseaux à leurs risques et périls.
De manière générale, j’évite de brimer les décisions de mes joueurs. A eux de choisir leur voie, d’assumer leurs actes et à se montrer assez malins pour s’en sortir. Pour ma part, Polaris est un univers dur, rugueux, où personne ne le fera de cadeaux. Si leur route peut ne pas être dénuée d’humanité, ils devront se créer leur propre chance s’ils veulent faire plus que survivre. Mais c’est là un débat qui dépasse le cadre de ce scénario.
Et je comprends également bien que Meldan ait tout intérêt à cultiver ses relations avec les personnages (des gars qui vont se contenter de moins de 1% de la valeur de la cargaison pour lui laisser tout le reste, après avoir fait le sale boulot et pris tous les risques, cela ne doit pas courir les fonds des mers. Je doute en tous les cas que les pnjs soient en général aussi gentils avec les pjs s’ils devaient organiser eux une telle expédition
).Je ne peux qu’être entièrement d’accord avec toi pour ce qui est du jeu des réseaux (et ce à n’importe quel jeu construit sur la durée d’ailleurs). C’est même un des points essentiels dans l’environnement que j’essaye de créer autour de mes joueurs, avec les différents dilemmes auxquels ils peuvent être confrontés. En one shot, les personnages coincés avec Meldan dans la station alors qu’ils sont assaillis par les pinces-crabes, avec toute cette formidable cargaison à portée de main, pourrait donner un formidable moment de jeu, faire naître une tension palpable née de leurs désirs et instincts. Un moteur dramatique dont ont usé bien des films et des romans.
Après, je relativiserai néanmoins un peu le panel des conséquences pour les personnages. Si les joueurs sont des débutants, et que c’est sans doute la première séance de jeu pour leurs alter ego, ces derniers sont tout de même loin d’être des néophytes dans la plupart des cas. Ils auront connu une plus ou moins longue carrière au terme de leur création, et auront certainement tissé une toile de contacts et d’alliés. Pour reprendre ton exemple au début du scénario, un ancien pirate connaîtra certainement du monde pouvant le conduire à la bonne personne afin d’écouler cargaison et escorteur. Et proposer la moitié de la cargaison à un influent membre de l’Union des Marchands pourrait très bien aplanir les tensions avec ce groupe (oui, je ne place pas de fol espoir dans la nature humaine...)… à eux de construire leurs réseaux à leurs risques et périls.
De manière générale, j’évite de brimer les décisions de mes joueurs. A eux de choisir leur voie, d’assumer leurs actes et à se montrer assez malins pour s’en sortir. Pour ma part, Polaris est un univers dur, rugueux, où personne ne le fera de cadeaux. Si leur route peut ne pas être dénuée d’humanité, ils devront se créer leur propre chance s’ils veulent faire plus que survivre. Mais c’est là un débat qui dépasse le cadre de ce scénario.
