Présentation 6
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Bonjour,
même si je suis inscrit sur le site depuis quelques années, je ne pense pas que j'avais fait de présentation à l'époque. Je vais donc y remédier.
Mon aventure avec les jeux de rôles et D&D en particulier débuta durant l'été 1980, chez un libraire chez qui j'achètai le numéro 4 de Jeux & Stratégie. Le jeu en encart est le château des sortilèges et l'article sur le jeu de rôles et D&D me passionnaient. Je ne sais pas combien de fois j'ai lu l'histoire du groupe d'aventuriers autour d'un feu dans la forêt attaqué par des lycanthropes puis au matin, la vision des ruines d'un château émergeant au dessus d'un chemin entre les arbres.
La rentrée arriva, je retrouvais au lycée des camarades qui avait également mordu au château et à ses pièges. Après quelques parties, grâce aux adresses contenues dans J&S, je me décidais à écrires à une boutique parisienne qui m'envoya un "catalogue", une feuille A4 noir et blanc, principalement deswargames avec un feuillet A5 consacré aux jeux de rôles.
Quelques semaines plus tard, pour 95F (plus le port) je reçevais la boite de base de D&D contenant un set de dés, la règle permettant de jouer jusqu'au niveau 3 et un module, le B1, In search of the Unknown. Si vous aimez les vieilleries, il y a d'autres pages ici ou là
http://perrysheroes.free.fr/spip.php?article412
http://perrysheroes.free.fr/spip.php?article413
L'anglais n'étant pas mon point fort à l'époque, je pris mon dico dans lequel il manquait beaucoup de mots (goblins, orcs, halfling, etc.) Heureusement, la lecture de J&S m'avait aidée à comprendre les termes. Si bien que fin octobre 1980, chez un ami, nous étions quatre autour d'une table pour créer les personnages. J'étais le DM et ainsi apparurent Aragorn le guerrier (certains avaient commencé la lecture du premier tome du Seigneur des anneaux semble-t-il), Belag le prêtre et un troisième larron que ma mémoire à oublier.
Après cette première partie un peu délicate, nous avons fait un break, lu beaucoup. Je me suis abonné à Casus Belli, reçu le numéro 4 (et les trois premiers déjà parus). Nous avons repris au printemps à trois, plus sur de nous pour terminer l'exploration du complexe de Quasqueton créé par Roghan et Zelligar. Dans l'intervalle, grâce à mes lectures et à l'achat du Dungean Master Guide, du Player Handbook, puis plus tard du Monster Manual, j'ai commencé la création de nouveaux 'donjons', dont le MM1 Mortyr puis le MM2 Minas-Ost, qui débutent la série des modules Mad Master. Aragorn y trouva la mort. Son cousin Glorfindel, un autre guerrier, vint le venger et aux côtés de Belag, ils allaient silloner le continent pour finir par s'mbarquer quelques années plus tard pour Greyhawk et écrire leur légénde.
Entre temps, nous faisons également des jeux de plateaux, J&S ou autres. Quelques années plus tard, avec Glorfindel et Belag à la tête du Perrenland, repoussant les invasions de Iuz, leurs enfants se lancent dans l'aventure mais cela est devenu trop routinier.
L'opportunité s'offrit à nous de repartir de zéro avec un groupe de nouveaux joueurs. Je me retrouvais avec 8 PJs cette fois, je créais rapidement une aventure classique, des méchants pirates ayant enlevé les jeunes filles d'un village, les habitants font appel à des aventuriers pour les aider. Le résultat fut fantastique, çela partait dans tous les sens. Les aventures qui suivirent, donnèrent lieu à des moments extraordinaires, avec des groupes qui se séparaient et agissaient chacun de leurs côtés. Certaines actions sont restées secrètes pendant plus de vingt ans.
Par la suite, un de mes amis joueurs, s'est lancé dans l'Appel de Cthulhu, un autre dans Mega. Nous avons également essayé James Bond, Paranoïa. J'ai ensuite maitrisé plusieurs séances de StarWars D6.
Et pendant tout ce temps j'ai peint des figurines, bien peinturluré soit un terme plus approprié à cette époque. Ensuite, le travail, la vie de famille ont repris leurs droits et j'ai fait un gros break au début des années 1990. J'ai pratiqué les jeux PCs, moins contraignants, quoique.
Finalement c'est en 2003 avec la sortie sur PC de Neverwinter Nights que je me décidais pour essayer D&D 3e. Je finis par recruter des PJs parmis d'autres amis et j'ai repris les pinceaux... Les trois de gauche sont parmis les premières que j'ai peinte à cette période, les deux autres datent d'une année plus tard.
Les aventures des Braves Compagnons (et oui, A Song of Ice & Fire avait commencé) dans le duché de Daggerford dans les Royaumes Oubliés et avec des bons vieux Floor Plans des années 80 (mais qui ne servent qu'à représenter les lieux)
J'ai continué à peindre plein de figurines, à écrire des règles d'escarmouche, à faire jouer les gens aux figs ou aux jeux de rôles ( Cthulhu, Delta Green, Zombie corps, Trône de Fer ) même si le temps me manquent toujours autant.
Voila, voila
Olivier
même si je suis inscrit sur le site depuis quelques années, je ne pense pas que j'avais fait de présentation à l'époque. Je vais donc y remédier.
Mon aventure avec les jeux de rôles et D&D en particulier débuta durant l'été 1980, chez un libraire chez qui j'achètai le numéro 4 de Jeux & Stratégie. Le jeu en encart est le château des sortilèges et l'article sur le jeu de rôles et D&D me passionnaient. Je ne sais pas combien de fois j'ai lu l'histoire du groupe d'aventuriers autour d'un feu dans la forêt attaqué par des lycanthropes puis au matin, la vision des ruines d'un château émergeant au dessus d'un chemin entre les arbres.
La rentrée arriva, je retrouvais au lycée des camarades qui avait également mordu au château et à ses pièges. Après quelques parties, grâce aux adresses contenues dans J&S, je me décidais à écrires à une boutique parisienne qui m'envoya un "catalogue", une feuille A4 noir et blanc, principalement deswargames avec un feuillet A5 consacré aux jeux de rôles.
Quelques semaines plus tard, pour 95F (plus le port) je reçevais la boite de base de D&D contenant un set de dés, la règle permettant de jouer jusqu'au niveau 3 et un module, le B1, In search of the Unknown. Si vous aimez les vieilleries, il y a d'autres pages ici ou là
http://perrysheroes.free.fr/spip.php?article412
http://perrysheroes.free.fr/spip.php?article413
L'anglais n'étant pas mon point fort à l'époque, je pris mon dico dans lequel il manquait beaucoup de mots (goblins, orcs, halfling, etc.) Heureusement, la lecture de J&S m'avait aidée à comprendre les termes. Si bien que fin octobre 1980, chez un ami, nous étions quatre autour d'une table pour créer les personnages. J'étais le DM et ainsi apparurent Aragorn le guerrier (certains avaient commencé la lecture du premier tome du Seigneur des anneaux semble-t-il), Belag le prêtre et un troisième larron que ma mémoire à oublier.
Après cette première partie un peu délicate, nous avons fait un break, lu beaucoup. Je me suis abonné à Casus Belli, reçu le numéro 4 (et les trois premiers déjà parus). Nous avons repris au printemps à trois, plus sur de nous pour terminer l'exploration du complexe de Quasqueton créé par Roghan et Zelligar. Dans l'intervalle, grâce à mes lectures et à l'achat du Dungean Master Guide, du Player Handbook, puis plus tard du Monster Manual, j'ai commencé la création de nouveaux 'donjons', dont le MM1 Mortyr puis le MM2 Minas-Ost, qui débutent la série des modules Mad Master. Aragorn y trouva la mort. Son cousin Glorfindel, un autre guerrier, vint le venger et aux côtés de Belag, ils allaient silloner le continent pour finir par s'mbarquer quelques années plus tard pour Greyhawk et écrire leur légénde.
Entre temps, nous faisons également des jeux de plateaux, J&S ou autres. Quelques années plus tard, avec Glorfindel et Belag à la tête du Perrenland, repoussant les invasions de Iuz, leurs enfants se lancent dans l'aventure mais cela est devenu trop routinier.
L'opportunité s'offrit à nous de repartir de zéro avec un groupe de nouveaux joueurs. Je me retrouvais avec 8 PJs cette fois, je créais rapidement une aventure classique, des méchants pirates ayant enlevé les jeunes filles d'un village, les habitants font appel à des aventuriers pour les aider. Le résultat fut fantastique, çela partait dans tous les sens. Les aventures qui suivirent, donnèrent lieu à des moments extraordinaires, avec des groupes qui se séparaient et agissaient chacun de leurs côtés. Certaines actions sont restées secrètes pendant plus de vingt ans.
Par la suite, un de mes amis joueurs, s'est lancé dans l'Appel de Cthulhu, un autre dans Mega. Nous avons également essayé James Bond, Paranoïa. J'ai ensuite maitrisé plusieurs séances de StarWars D6.
Et pendant tout ce temps j'ai peint des figurines, bien peinturluré soit un terme plus approprié à cette époque. Ensuite, le travail, la vie de famille ont repris leurs droits et j'ai fait un gros break au début des années 1990. J'ai pratiqué les jeux PCs, moins contraignants, quoique.
Finalement c'est en 2003 avec la sortie sur PC de Neverwinter Nights que je me décidais pour essayer D&D 3e. Je finis par recruter des PJs parmis d'autres amis et j'ai repris les pinceaux... Les trois de gauche sont parmis les premières que j'ai peinte à cette période, les deux autres datent d'une année plus tard.
Les aventures des Braves Compagnons (et oui, A Song of Ice & Fire avait commencé) dans le duché de Daggerford dans les Royaumes Oubliés et avec des bons vieux Floor Plans des années 80 (mais qui ne servent qu'à représenter les lieux)
J'ai continué à peindre plein de figurines, à écrire des règles d'escarmouche, à faire jouer les gens aux figs ou aux jeux de rôles ( Cthulhu, Delta Green, Zombie corps, Trône de Fer ) même si le temps me manquent toujours autant.
Voila, voila
Olivier
j'adore ton prénom 
Avec le bonus du D20 (42) de la souscription H&D, j'ai photographié mon premier D20, celui présent dans la boite de base de D&D acheté en 1980 et coloré par mes soins au marqueur rouge (pour différencier les dizaines et les unités).
Il a le sens du spectacle, en faisant des 18, 19 ou des 20 aux bons moments pour faire monter la tension tout en sachant échouer lamentablement dans les instants critiques pour les PJs.
Dans ma boite de DM, il y a plus étonnant ce badge Dungeon Master, à la font très D&D, trouvé et acheté dans une boutique bordelaise en 1982 ou 83.
Il a le sens du spectacle, en faisant des 18, 19 ou des 20 aux bons moments pour faire monter la tension tout en sachant échouer lamentablement dans les instants critiques pour les PJs.
Dans ma boite de DM, il y a plus étonnant ce badge Dungeon Master, à la font très D&D, trouvé et acheté dans une boutique bordelaise en 1982 ou 83.
