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Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

Sombre - La peur comme au cinéma 50

Forums > Jeux de rôle

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Un big grand merci à Johan Scipion, donc.

Merci de tes bons mots, Gollum. Ravi que Sombre te plaise !

Bonne lecture et bon jeu.

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Les mécènes de Sombre ont reçu leur nouvelle contrepartie

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Ce mois-ci, Sombre continue d'esquiver la canicule en se planquant dans son Ciné club. Au programme, une quasi intégrale American Nightmare (DeMonaco). Du 1 au 4 + les deux saisons de la série télé. La politique fiction horrifique, en été, c'est frais.

Chaleureux remerciements à Glayroc, Alias, Rôliste, Steve J, Gherhartd Sildoenfein, furst77, Dorothée, pseudo, Vincent, Peggy, Etienne Bar, FaenyX, Vincent, Eliador, Nefal, girdalas, Quentin KENARLIKDJIAN, Orlov, Saint Epondyle, Polopaul, Passelune, Jean-Marc CHOSEROT (Tolkraft), Hunter_Chameleon, dodo, boucher allan, RPGMarshal, Juan, Jérémy Jarrié, Jicey, Robert, Netrunner42, Ric Pogan, Aellle, Thomas, Axel, Luce, Jolan "Blondin" Lacroix, markirian, Geoffrey, Grincedent, Barbarouffe et Grim' Swarm.

+ Soutenez sur Patreon : http://bit.ly/Sombre-Patreon
+ Soutenez sur Tipeee : http://bit.ly/Sombre-Tipeee
+ Anciennes contreparties : http://bit.ly/Sombre-contreparties

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Il y aura du Sombre par son auteur à Etrange Grande

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Les 7 et 8 septembre prochains, je participerai à Etrange Grande, le festival des littératures de genre. Cela se passe à Hettange-Grande, près de Thionville, en Moselle.

On me trouvera au pôle ludique, en compagnie de deux stars du jeu de rôle, Vincent Mathieu (Cats !) et Laurent Gärtner (Bubblegumshoe).

Je fais les deux jours, de l'ouverture à la fermeture. Vente de zines, dédicaces pour qui n'en veut, et démos non-stop de Sombre pour petits et grands (à partir de 7 ans).

Venez nombreux mourir à ma table !

Si vous voulez en profiter pour m'acheter du Sombre

Il y a désormais trop de numéros pour que je puisse me déplacer avec tous. Pour être sûr de trouver votre bonheur, le mieux est de me passer préalablement commande.

Sur place, j'accepte chèques et espèces. À l'avance, on peut payer par PayPal et virement bancaire instantané.

Plus d'infos

+ https://www.etrange-grande.fr/

+ https://www.facebook.com/FestivalEtrang … cale=fr_FR

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10 démos à Etrange Grande – septembre 2024 – Hettange-Grande

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Moi, moche et méchant.
photo Tomun Reden

Johan, de retour parce qu'il revient, et ainsi de suite. L'année dernière, j'avais fait Etrange Grande, un festival littéraire avec un side ludique, et en étais revenu enchanté. J'ai rempilé cette année. Même cause, même effet : ce fut trèèès bien. Mais trèèès fatiguant. Mais trèèès bien. Mais trèèès fatiguant. Hop, liste.

+ Super ambiance, super accueil, public et bénévoles adorables, orga générale solide. Que du bon. Quelques petits couacs me concernant, rien de bien grave. Juste, ce serait cool de pourvoir à nouveau le poste de responsable du pôle ludique. Clairement, ça manque.

+ Des conditions de jeu à la fois plus et moins difficiles. Cette année, plus de scène dans le gymnase, ce qui fut une grosse amélioration. L'ancienne combo littérature + JdR + concours de cosplay n'était pas optimale. Là, il y avait du brouhaha, mais pas plus que dans n'importe quelle autre conv un peu conséquente. Très gérable. Par contre, on a encore eu du grand beau temps samedi. Ouais, en Moselle, septembre est estival. Genre 30 degrés à l'extérieur, ressentis 48 sur le pôle ludique, installé sur la mezzanine du gymnase, pile sous le toit en tôle sans isolation ni climatisation. Rude.

+ On m'avait posé dans le premier des trois boxes JdR. J'ai demandé à ce qu'on retire une cloison pour ouvrir ma table sur le festival, faire en sorte que les passants voient qu'on joue à Sombre, et leur permettre de s'arrêter tranquille en spectateurs sans avoir l'impression de déranger. Le défaut ? Je me suis retrouvé pendant deux jours à quelques mètres de l'un des projos du gymnase, le genre d'éclairage qui t'envoie des watts par centaines dans la gueule. Pas confort du tout.

+ Tunnel de Camlann. Neuf à la suite en deux jours, dont six le samedi. Public familial donc tables très mélangées. Des rôlistes et des pas rôlistes, des gamers et des pas gamers, des vieux et des jeunes. Du coup, partie d'initiation sur partie d'initiation. Business as usual. Et c'est là que tu vois le bon meneur. Le mauvais meneur, y mène sa neuvième partie de Camlann en deux jours, y voit un chevalier de la Table ronde, y cogne. Le bon meneur, y mène sa neuvième partie de Camlann en deux jours, y voit un chevalier de la Table ronde, y cogne. Mais c'est pas pareil, c'est un bon meneur.

+ Samedi soir, je suis essoré. Il y avait moyen de mener en nocturne, mais les volontaires n'étaient pas légion. Une bonne âme me raccompagne donc à mon dodo. Dimanche, à mon septième Camlann, pas frais du tout, le gars Johan. Mais alors du tout. La vâââche, çaaa picôôôte. Je briefe à deux à l'heure. Par bonheur, je trouve mon second souffle en cours de jeu. Ça repart. Heureusement parce que la partie suivante fut rock'n'roll. Un groupe de jeunes gens cosplayés, fort sympathiques mais passablement dissipés. Je ne me laisse pas déborder, parviens à tenir la table, et la partie est super. À ce stade de la conv, ce n'était pas gagné. Je m'accorde un petit bisou d'autosatisfaction.

+ Dimanche aprème, des fans de Sombre viennent me serrer la pogne. Geoffrey, qui récupère une commande. Robert, que j'avais déjà vu l'année dernière. Julien, qui vient tout juste de découvrir le jeu, et est en famille, avec ses fils. Je me demande si je repars pour un Camlann. Robert a déjà fait Overlord l'année dernière, et à ce stade, je ne suis de toute façon plus en capacité de le mener. Trop fatigué. Or il me dit, je n'ai jamais joué de Dozen, et adorerais voir ce que ça donne. Justement, que je lui réponds, j'ai mes cartes dans mon sac ! J'avais hésité à m'en charger parce que quand tu portes tes affaires et ton stock sur ton dos dans le train, tout pèse. Je ne regrette pas d'avoir fait l'effort.

+ Nous partîmes à cinq, mais par un prompt renfort de La Guilde (une asso ludique très cool qui faisait jouer du petit platal sur la mezzanine, à côté des boxes JdR), nous nous vîmes sept joueurs arrivés au Darkly Dozen. Partie rôliste en full cast et dans les règles de l'art, avec le set de base. Pas de map pour ne pas trop complexifier, et on me tire les garous au sort. La partie est très bonne. Je termine en 1v1 contre le fils cadet de Julien, après que son frère aîné ait héroïquement sacrifié son Pilote pour sortir Lycaon. Je remporte le duel final, mais il ne s'en est pas fallu de beaucoup que les mercenaires gagnent. Supercool de clore le festival sur une telle démo. Dozen est trop cool, putain.

+ Aucun Vieux Bubar à l'horizon. Presque déçu.

Les mercis

+ Merci à Johann pour l'invitation et l'orga en amont.

+ Merci à Anne-Lorraine pour sa réactivité et son efficacité.

+ Merci à Fred' pour l'assistance téléphonique d'urgence.

+ Merci aux gens qui m'ont gracieusement véhiculé durant le week-end (François, Yannick, Agnès).

+ Merci à mes éminents confrères rôlistes, Vincent (Cats !) Mathieu ainsi qu'Agnès et Laurent (Bubblegumshoe) Gärtner, pour la camaraderie et la bonne humeur. Super cool d'avoir passé ces deux jours en votre compagnie.

Mon body count

10 parties, 48 joueurs, 53 personnages, 51 morts

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Deux slashers sinon rien

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Le slashiez-vous qu'aujourd'hui, le vendredi était 13 ? Pour fêter ça, Sombre 8 vous propose

+ Un summer camp iconique. Un lac, la forêt, des chalets. Le biotope des boogeymen horrifiques. Ce décor prêt à jouer est livré avec son plan, sa description détaillée, deux douzaines d'accroches de scénario et quatre antagonistes.

+ Un slasher old school à la Vendredi 13. À Camp Indian Lake, soirée d'intégration entre moniteurs comme il y en a tous les ans. Sauf que cette fois-ci, un psycho killer rôde dans les bois.

+ Un méta-slasher à la Scream. De jeunes rôlistes ont décidé de jouer une partie de Sombre dans Camp Indian Lake. Pour l'ambiance bien sûr. Le camp est abandonné, mais le Mal rôde toujours dans les bois.

Pour commander : http://bit.ly/Sombre-commandes

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Il y aura du Sombre par son auteur à Senlis ce week-end

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Les 21 et 22 septembre prochains, je participerai au Festival d'Rôles de Jeux à Senlis (Oise).

Je fais le samedi et le dimanche, de l'ouverture à la fermeture. Vente de zines, dédicaces pour qui n'en veut, et démos non-stop de Sombre pour petits et grands (à partir de 7 ans).

Venez nombreux mourir à ma table !

Si vous voulez en profiter pour m'acheter du Sombre

Il y a désormais trop de numéros pour que je puisse me déplacer avec tous. Pour être sûr de trouver votre bonheur, le mieux est de me passer préalablement commande. Sur place, j'accepte chèques et espèces. À l'avance, on peut payer par PayPal et virement bancaire instantané.

Plus d'infos

+ https://www.festival-jdr-senlis.fr/

+ https://www.facebook.com/festival.drolesdejeux

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Je suis en train de découvrir Sombre et suis hyper hypé (ça se dit ?) et comme en parallèle je viens de commencer la lecture de Old Gods of Appalachia (et juste écouté la saison 1 du podcast)... Je me dis punaise un Old Gods of Sombre Appalachia ça donnerait quoi avec des horreurs dans les mines et des cimetières indiens ???

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Je suis en train de découvrir Sombre et suis hyper hypé (ça se dit ?)

En tout cas, ça a le mérite de la clarté. ^^ Ravi que Sombre t'accroche.

des horreurs dans les mines et des cimetières indiens ???

Une valeur sure du cinoche de trouille américain. Perso, je mets régulièrement du Wendigo dans mon Sombre. J'adore cette légende.

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9 démos à d'Rôles de Jeux – septembre 2024 – Senlis

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Ceci est ton sang.
photo Patrice Mermoud pour le Grog

Le week-end dernier, j'ai participé à la première édition du festival rôliste de Senlis, loin là-bas dans la campagne oisienne. Un champ, un sanglier, un champ, un sanglier, vous voyez le genre. Au programme, les Journées du patrimoine avec des rôlistes dedans. Plus d'une dizaine de lieux mis à la disposition par la municipalité pour jouer et causer JdR. Un festoche en kit, quoi. Le défaut d'Étrange Grande, auquel j'ai participé il y a quinze jours, mais level 2. À Étrange Grande, il y a trois lieux séparés, dont un clairement central, qui draine la majorité du public. Et les deux autres ne sont pas loin à pied. Ça le fait. À Senlis, onze lieux, répartis un peu partout dans la ville, dont certains à dix minutes de bagnole les uns des autres. Ingérable, on s'en doute.

Par là-dessus, Johan et ses animations patatoïdes. Ce n'est pas du stand, pas non plus du jeu dans un format qui permet les préinscriptions. Quand tu poses des gens pour quatre heures, tu peux orga tranquille à l'avance. Quand c'est pour 15 minutes, il faut forcément gérer sur place. Mon besoin, c'est le flux. Si le festoche est éclaté aux quatre coins de la ville, il faut que je sois dans le coin où la majorité du public va passer. Je dis bien passer. Si je suis dans un lieu où il y a plein de gens, mais qui ne bougent pas (parce qu'ils sont occupés à péter des rotules de gob pendant des heures), ma table reste vide.

Connaissant bien mes contraintes et mes besoins, je zieute le site Internet et le plan du festival pour essayer de comprendre où je dois m'installer. Parce que je sais que sur place, je ne serai pas mobile. Je viens sans véhicule personnel, mon stock sous le bras, dans un gros carton bien lourd. Y'a juste pas moyen que je me ballade dans tout Senlis pour courir après le festivalier. Donc je zieute très très bien le plan et le programme. Et là, grosse dubitation. Il y a plusieurs lieux dédiés au jeu, mais je peine à piger la logique de l'ensemble. Oulala, que je me dis, ça ne va pas être simple.

Heu-reu-ze-ment, le jour même, tandis que Nicolas, mon aimable chauffeur, cherche à se garer dans Senlis (si vous-même ou l'un de vos vous-mêmes était capturé ou tué, le département de Johan nierait avoir eu connaissance de vos agissements), j'aperçois Julien Blondel en kilt qui cause à des gens devant une église. Clairement, l'univers m'envoie un message. Je veux dire, c'est pas tous les jours que tu vois Julien en kilt devant une église. Aussitôt, je demande à Nicolas de me poser. Je récupère mon gros carton de zines et file à ladite église. En chemin, je croise un Éric Nieudan en lunettes psyché, ce qui me confirme dans mon intuition : c'est bien là que je dois passer le week-end.

Du coup, je m'installe à l'Espace St Pierre, édifice désacralisé et récemment restauré (dans lequel j'ai vendu du Sombre 666, ce que je trouve délicieux). Rien n'a été prévu pour moi, mais les orgas sont cool. On me trouve une table et des chaises, puis on me case dans le narthex, dos aux portails. L'entrée du public se fait par une porte latérale, au niveau du transept. La nef est pleine de stands ludiques et littéraires. Le sanctuaire accueille la buvette et une expo sur l'histoire du JdR. Je suis un peu à l'écart, ce qui est cool. Animer des démos à côté des stands revient juste à faire chier le monde. Pendant que mes estimés confrères font de la retape pour leurs produits, moi et mes joueurs on braille qu'on va sauver la Bretagne. Pas cool pour les voisins.

Donc je passe deux jours à enchaîner recrutement et démos. Le lieu est magnifique, mais évidemment très sonore. Six bons mètres sous voûte, ça résonne de taré. Il n'y avait pas des masses de gens, donc l'écho restait gérable, mais je suis quand même revenu avec mon growl des grands jours. Si j'ai une immense habitude du recrutement tout terrain, il y a une limite dure : je ne peux pas inventer des joueurs qui n'existent pas. En conséquence, j'ai assez souvent tapé dans les stands pour compléter mes tables. Business as usual dans les petites convs. Cela marche assez bien parce que, quand il n'y a pas masse de public, les standistes (ça se dit ?) ne sont pas non plus débordés. Limite, ils s'emmerdent. Mais poliment parce que ce sont des gens bien élevés.

Une quarantaine de joueurs sur les deux jours, tout à la force du poignet. Neuf parties, dont huit Camlann. Public très mélangé, avec de nombreux débutants et des enfants = chevaliers de la Table ronde. Encore et encore et encore. Des parties très sympa, dont une à l'issue rarissime. Pas souvent que Morgane reste seule et unique survivante. Cela fait au moins deux ou trois ans que je ne l'avais pas vu à ma table. En fermeture du samedi, un Overlord pour une table rôliste, recrutée partiellement sur les stands. Et à la toute fin du festoche, un dernier Camlann à l'arrâââche, tandis qu'autour de nous, les gens remballent leur marchandise et démontent leurs stands.

Au global, bilan positif. Du gros taf certes (deux journées épuisantes), mais sur un rythme pas trop soutenu, ce qui m'a permis de causer un peu avec des gens. Xaviiier, rencontré aux Utops de l'année dernière, toujours aussi cool. Manu Gharbi, que je n'avais pas revu en vrai depuis près de dix ans. Et Julien Blondel. Et Éric Nieudan. Et Pierre Rosenthal. Et Bastien Wauthoz, venu de Belgique. Et la team Hoshikaze. Et les Grogistes, fidèles au poste. Et les Alternativistes (moitié alternatifs, moitié narrativistes). En un mot, la crème du JdR francophone.

Que dire de ce festival, ou plus exactement de cette collection de micro-festivals ? Clairement, les lieux étaient trop nombreux. Sans doute les orgas ont-ils péché par optimisme en prévoyant un afflux massif. L'event était tellement dispersé que je peine à évaluer sa fréquentation réelle, mais je doute que la transhumance parisienne espérée se soit réalisée. Je l'avais écrit par mail à Olivier, l'orga-chef : jamais tu ne vas déplacer en masse du rôliste parisien vers Senlis. La réalité est que pour les Parisiens, Pantin est déjà loin. Alors l'Oise... À leur décharge, il faut aussi reconnaître que l'offre de transport en commun Paname - Senlis est de l'ordre de la catastrophe industrielle, surtout le week-end.

Au-delà des questions logistiques, et après le colloque rôliste de Villetaneuse auquel j'ai participé en juin, je m'interroge. Le JdR a cinquante piges, c'était d'ailleurs le thème du festival de Senlis. À cet âge, on commence à avoir envie de faire des bilans, transmettre son expérience, raconter le bon vieux temps qui était tellement mieux. Je m'attends donc à voir popper ici et là de plus en plus d'événements hybrides alliant l'académisme (conférences et tables rondes) et le ludique (démos et stands). Je ne suis pas certain que la formule soit gagnant-gagnant. Je veux dire, ça marche aux Utops because flux de taré. Tellement de gens qu'il y a du monde qui déborde de partout. Dans les petits events, on n'en est pas là. Quand les conférences et les tables rondes s'y enchaînent, il ne reste pas trop de temps disponible pour les stands et le jeu. Résultat, faire du side dans ces événements est aussi compliqué que s'ils n'étaient pas core rôlistes. Ce paradoxe m'interroge dans le dedans de mon moi-même.

Les mercis

+ Merci à Olivier et Rémi pour l'invitation et l'orga.

+ Merci aux bénévoles. Accueillants, aimables et arrangeants, un vrai plaisir.

+ Merci à Claude et Renaud pour les véhiculages gracieux.

+ Énôôôrme merci à Nicolas pour le voiturage aller et retour depuis Paname. Copain, je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi. Probablement que je serais resté chez moi.

Mon body count

9 parties, 41 joueurs, 42 personnages, 40 morts

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Altanna
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Johan Scipion

Merci pour ce retour ! Un détail manquant néanmoins : ya pas eu trop de pen spinning ?

démon