Du marquage des PDF 792
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J'ai ouvert un "ticket" auprès de notre webmestre pour voir s'il pouvait faire quelque chose au sujet de ce watermark avant hier, mais j'ai oublié de le signaler ici.
Bref s'il est possible de faire quelque chose, ce sera fait. Après vous dire quand...
Romano_BBE
Merci . Cette communication a le merite de répondre à plusieurs questions.
Les Hommes en Noirs sont bien au fait du désagément que représente ce bloodmark.
Ils écoutent "les dix poilus mécontents" qui mouillent la plume pour faire progresser la qualité des produits et bien sur nous les en remercions ( poilus et MIB).
Ils essaient de trouver une solution avec leur prestataire.
C'est on ne peut plus clair donc wait and see... (pour les miracles prevoir un délai )
Sauf que je n'ai pas utilisé de termes devalorisants comme "clampin". Serieux relisez et arretez de projeter ce que vous avez envie de lire. Parce que c'est usant de se prendre le soin de choisir ses mots pour ne pas attaquer les gens et de se ramasser ce genre de relectures.
Serieusement les gars.
- formol
Je t'invite à refaire le formattage de centaines de pages de texte automatiquement avec Vim alors. Tout est question de quantité.
for a in *.pdf do; vim $a -C action -C wq; done
Mais comme l'a dit Sauriak, awk, sed et co ça fait le taf mais c'est hors sujet (enfin, j'utilise vim pour virer le watermark, mais c'est tordu)
Comme le dit Fender, "l'art et la manière" directement adressé.
Alors qu'à la base tout ce que je disais (à Tiramisu) est qu'autant l'entreprise peut écouter, mais qu'il n'y a pas de "devoir" à venir répondre sur ses exigences (qui ne sont d'ailleurs pas liées au côté moche du watermark rouge en gros sur les coins de page).
A la base je répondais aussi que ce que certains appellent un dasavoeu massif du procédé correspond à quelques personnes sur ce forum et qu'on ne peut pas dire que c'est massif.
Je pense que ce sont deux factualités qui ne posent pas de jugement de valeur.
Ensuite, l'entreprise fait ce qu'elle veut, écoute qui elle veut, comme elle veut. Et en général BBE est plutôt à l'écoute des clients.
- formol
Ha oui par contre, l'art et la manière t'étais clairement adressé Julien.
J'ai beaucoup de respect pour ton travail et ce que tu as à apporter au monde du JDR, mais j'ai de plus en plus de mal avec tes réponses, toujours très séches, à la limite de la condéscendance pour ceux qui ne sont pas d'accord avec toi. T'es " un point c'est tout " et autres " c'est comme ça, point" sont vraiment de trop la plupart du temps. Nous sommes sur un forum d'échange, les points de vue divergent forcément. Quand je vois le genre de discours tenu sur le fil des retards sur les CF, oui, je te le redis, il y'a l'art et la manière de dire les choses.
- Ours
Et pourtant des fois, les faits sont là. On peut discuter du ressentit, mais les faits ne sont pas une opinion. Julien est sec, peut être mais franchement, lorsqu'il est catégorique il parle de fait et pas d'opinion, il n'y a pas à être d'accord ou pas. Relis bien les post que tu incrimines, tu verras qu'il ne s'agit pas d'opinion, la dessus il est beaucoup moins catégorique.
- formol
C'est surtout moche et ça gêne la lecture...
M'enfin bon on l'a déjà dit !
PS : Non parce que si on commence à parler de bien et de mal, on va rentrer dans des considérations philosophiques à n'en plus finir, et puis après il faudra préciser si c'est chaotique mauvais ou bien loyal mauvais, et alors là ça va partir en vrille !
- LuKa
Loyal Mauvais
Ha oui par contre, l'art et la manière t'étais clairement adressé Julien.
J'ai beaucoup de respect pour ton travail et ce que tu as à apporter au monde du JDR, mais j'ai de plus en plus de mal avec tes réponses, toujours très séches, à la limite de la condéscendance pour ceux qui ne sont pas d'accord avec toi.
Encore une fois, très sincèrement, c'est ce que tu projettes sur les réponses. Très sincèrement.
T'es " un point c'est tout " et autres " c'est comme ça, point" sont vraiment de trop la plupart du temps.
Et ils ne sont pas si courants. Ils arrivent parfois sur une réponse qui se veut être ferme. Et c'est très souvent aussi en réponse à un ton peu avenant de l'autre côté. J'ai toujours le sentiment qu'on peut être mécontent et pourtant :
- ne pas faire de procès d'intention
- arrêter de projeter les expériences d'autres structures sur un point précis (le retard par exemple) sans prendre en compte tout le reste (quand on comparer des projets, on doit tout comparer. Tout. Vraiment. De la structure, ses obligations, le nombre d'auteurs, la quantité de création et de matos fournit, etc... Tout.)
- Arrêter ce truc de "moi dans mon mérier" parce que n'en déplaise à certains les métiers ne sont pas les mêmes et les gestions pas les mêmes (et les structures et leurs spécificités de même)
- Exprimer poliment qu'on en a marre
- etc...
Je suis peut-être un bisounours, mais personnellement je ne me permets jamais le début du quart du commencement de ce que j'ai lu vis à vis des structures qui sont en retard (pas que pour les PP) et j'ai toujours eu des réponses satisfaisantes, à quelques exceptions près.
Mais dans 95% de mes messages, j'essaie surtout d'être le plus factuel possible et de retirer les ambages parce que ça parasite le discours. Et j'emploie mes mots pour ce qu'ils veulent dire, pas pour des sens cachés.
Nous sommes sur un forum d'échange, les points de vue divergent forcément. Quand je vois le genre de discours tenu sur le fil des retards sur les CF, oui, je te le redis, il y'a l'art et la manière de dire les choses.
formol
Et c'est valable pour tout le monde. Parce que quand je vois l'impolitesse de certains aussi. Les moments où je me permets d'être sec sont les moments où le discours en face me parait justement excéder la forme acceptable. Et ils ne sont pas si courants. De plus il serait aussi bon de recontextualiser les échanges : quand quelqu'un répond, il répond à quelqu'un d'autre, qui a lui même employé un ton spécifique et des mots spécifiques, un arrangement spécifique des mots, qui forment un discours spécifique. C'est en général à ça que je réponds. Il s'agit rarement d'un discours plus global, ou alors je me fends de le dire et de l'expliciter.
Alors certes, je ne passe pas mon temps à rajouter des formules à base de vaseline pour tenter de ne pas avoir l'air sec ou ce que tu veux... mais c'est parce que j'ai constaté que quoiqu'il en soit ça ne fonctionnait pas : quand les gens se sont fait une idée, ils appliquent l'idée sur tous tes textes, quels qu'ils soient. Quelles que soient les précautions que tu as prises pour ne pas sembler sec/agressif/méchant/autre. Du coup j'en ai pris mon parti.
EDIT : ce long post mais en fait Ours a raison : je rappelle souvent des faits. Des faits avec lesquels je ne suis pas forcément d'accord d'ailleurs. Mon opinion ne rentre pas forcément en ligne de compte.
Exemple : faire péter un watermark même pour un usage privé, c'est illégal, point. Mais tant qu'on est dans un usage privé à titre personnel, je m'en bas les cocotiers de savoir que jean-mi a fait sauté le watermark de son fichier pdf. C'est pour son confort et son usage. Mais si on demande ce que dit la loi, factuellement, c'est illégal.
- Nioux
Alors à ce propos : est-ce qu'un bloodmark fait avec le sang d'un orc c'est plus ou moins mal que s'il est fait avec le sang d'une vierge ?
Ou celui d'un lapin ?
EDIT: du coup je répondais au PS de MRick avant le pavé de Julien
Entre
Ce que je pense
Ce que je veux dire
Ce que je crois dire
Ce que je dis
Ce que vous avez envie d'entendre
Ce que vous croyez entendre
Ce que vous entendez
Ce que vous avez envie de comprendre
Ce que vous croyez comprendre
Ce que vous comprenez
Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même...Bernard Werber
- Julien Dutel
- et
- Sauriak
NiouxEntre
Ce que je pense
Ce que je veux dire
Ce que je crois dire
Ce que je dis
Ce que vous avez envie d'entendre
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Ce que vous entendez
Ce que vous avez envie de comprendre
Ce que vous croyez comprendre
Ce que vous comprenez
Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même...Bernard Werber
Et c'est d'autant plus vrai encore à l'écrit, qui véhicule moins bien les émotions et le ton que l'oral