[COF] Questions techniques 8344

Je suis d'accord avec ça, avec une nuance: un écrit est bien une langue tout de même. Sinon sur le fond je suis d'accord car si on part du principe qu'on ne connait absolument pas la langue, voir l'écrit (donc un simple alphabet, quand bien même on saurait de quel alphabet il est question) ne nous garantit assurément pas de reconnaître la langue. Mais tout de même, là on parle d'un sort, donc de magie. Ce qui me fait beaucoup douter, because magic.

Je rectifie pour plus de clarté : un écrit est forcément écrit dans une langue pour être sensé.

Pour moi aussi c'est oui aux deux questions.

Cette capacité est très utile mais n'est pas hyper fun sur le papier (à moi elle me plaît bien) et ne fonctionnera a priori que dans de très rares cas dans une campagne (sauf adaptation), je ne la briderai pas. Quant à limiter à la compréhension oral une langue ancienne, comment dire...

"ce sort permet au barde de lire, écrire et parler n’im- porte quelle langue ancienne ou vivante pendant [1d6 + Mod. de CHA] minutes." N'importe quelle langue, c'est un sort.

Ce n'était pas brider le sort mais en comprendre les spécificités. Vu que c'est ambigu de ce point de vue pour moi, car "lire, écrire et parler n’importe quelle langue ancienne ou vivante" ça veut simplement dire qu'il peut maitrise la langue qu'il souhaite, pour être concret [ATTENTION PETIT SPOILER] vouloir maîtriser l'elfique ancien avec le sort : aucun problème. Mais arriver à la stèle du sanctuaire de trenner dans Anathazerin et lancer le sort pour savoir en quelle langue c'est écrit et le traduire : l'interprétation du sort ne me permettait pas sur le coup de savoir que c'était possible.

Pour le coup si la formulation est "lire, écrire et parler " cela rend caduc ma remarque sur l'écrit. Et donc cela le permet bien pour le coup.

En clair cela marche comme le champ de traduction instantané du Tardis du Dr Who.

Il peut effectivement y avoir une nuance entre lire/écrire/parler la langue (par magie, sans base antérieure) et pouvoir l'identifier.

De façon générale j'évite de mettre des barrières trop sévères sur les sorts/capacités utilitaires (Détection de la magie, Compréhension des langues, Langage des animaux, etc.). Les scénarios prennent rarement en considération ces capacités dans la résolution des scènes (logique sinon le groupe est bloqué en absence de la capacité), si bien qu'elles peuvent vite être sans intérêt si on est trop limitant.

LeoDanto a bien parlé.

Autant les aptitudes concernant le combat semblent forcément utiles, autant les autres le sont moins, et plus circonstancielles.

Et puis, si une telle habileté pouvait en dire trop, le MJ pourrait moduler les informations données au joueur pour ne pas gâcher son enquête.

Alors que la DEFENSE ou les PV d'un personnage, le MJ ne peut pas les changer en claquant des doigts.

Sylvain D.

Si une telle compétence est indispensable pour arriver à terme du scénario, le MD doit l'avoir fait sentir plus d'une fois au groupe. Si le groupe a fait fi des recommandations du MD, j'espère qu'il est au moins possible aux PJ de faire demi-tour pour aller chercher les compétance ailleurs.

Si une telle compétence est indispensable pour arriver à terme du scénario [...]

En général quand c'est le cas, l'auteur ne compte jamais sur le fait qu'un PJ dispose de ladite compétence. Il va plutôt mettre en place un PNJ l'ayant, un objet qui permet de s'en passer, une énigme à résoudre, etc.

Ecrire un scénario en tablant sur le fait que le groupe dispose précisément du profil nécessaire et ayant précisément la compétence nécessaire, c'est quand même chaud :p

Question : comment gérer certaines situations délicates ? Un de mes PJ à eu la bonne idée d'enflammer une couverture pour la balancer sur un ennemi. J'ai considéré ça comme une action limitée, de l'enflammer et de la balancer, mais peut être faut il 2 tours au PJ (1 pour enflammer, un pour jetter la couverture..). Ensuite j'ai fait un test de DEX vs DEX pour voir si la couverture touchait l'ennemi. Heureusement le PJ a loupé . Si il avait réussi, je pensais faire un 1D6 de DM. Ensuite faire un test d'intelligence pour le monstre ciblé afin de voir si il arrive à enlever rapidement la couverture et éviter de s'enflammer. Si il échoue, il prend feu (pendant 1D4 tours, c'etait l'idée d'un MJ sur une question similaire, j'ai trouvé ça cool). Ducoup qu'en pensez vous?

Autre point pas très important : en cas de réussite la situation aurait pu devenir un peu bizarre, avec un PJ et une couverture qui fait plus de dégâts que des PJ suréquipés, qui galeraient à toucher les cibles avec leurs armes ^^'.. et donc ça aurait donné une impression que leurs armes sont pas si puissante . Malgré ça, j'aurai tendance à récompenser un PJ qui a pris l'initiative de proposer une idée, quite à perdre un peu de réalisme, plutôt que le bombarder de malus

alors j'aurais tendance à gérer la situation comme ça :

- enflammer la couverture : effectivement une action limitée, surtout si le PJ n'a pas de torche allumée (sortir un silex, faire des étincelles, souffler...)

- lancer la couverture enflammée : jet d'attaque à distance avec une arme improvisée (malus de -4) contre la DEF de la cible. Si attaque réussie, la cible est aveuglée.

- si la cible n'est pas capable de se dépêtrer de la couverture via une action limitée et un jet de DEX (avec un malus de taille et un malus si la créature n'a pas de mains), elle s'enflamme au round suivant - suivre ce qui est marqué dans le sort flèche enflammée.

J'aurais tendance à dire que balancer une torche déjà enfllammée sera plus rapide (mais nécessitera quand même un jet d'attaque à distance avec une arme improvisée), et qu'utiliser une arme n'a pas de malus au jet d'attaque ^_^

Bon, ensuite tu as raison : autant récompenser un PJ qui décrit bien ses actions, dans un film d'action c'est le genre de truc qui marche toujours : on ne montre pas des attaques qui échouent et des adversaires efficaces- les stormtroopers ratent toujours leurs tirs

Si la couverture n'est pas imbibée d'un liquidfe inflammable, elle ne brûlera pas de suite. Après, niveau 1, il faut avoir l'argent pour acheter de nouveau une couverture !

En effet, je ne sais pas si vous avez déjà tenté de mettre le feu à une couverture, mais c'est pas un briquet en silex qui va l'enflammer en 10 secondes

Druide, Voie des Animaux, forme animale :

Forme animale (L) * : Le druide peut prendre la forme d’un animal d’une taille inférieure ou égale à la sienne. Il conserve sa DEF et ses PV, il acquiert les Carac. et les capacités naturelles de la forme choisie (le vol pour un oiseau, la respiration aquatique pour le poisson, etc.). Le druide peut reprendre sa forme humaine lorsqu’il le désire (action limitée).-

Quelle taille pour quel animal ?

En effet, je me demande si le druide doit se transformer obligatoirement en un animal connu avec sa vraie taille.

Pourrait-il choisir une sauterelle, une chauve souris de 1m50 par exemple ? Dans un monde fantastique, tout peut exister...

Doit-il se limiter aux animaux qu'il a croisé ?

Peut-il se transformer en ours hibou, créature hautement magique ? Ou uniquement les animaux naturels ?

Le druide de mon groupe est déjà au rang 2 de la voie de prestige du Changeur de forme. Donc, les changement, il les fait à volonté.

A ma table ce sera uniquement les animaux "ordinaires", listé dans le tableau qui se trouve page 328 du LdB. Et dans la limite de la taille du druide. On parle d'animaux, pas d'animaux fantastiques. Je le vois comme ça. Ca fait déjà une bonne palette.

Je suis d'accord avec toi.

Cette liste donne bien une idée. je rajouterai chèvre, vache, chien... Mais, les insectes et arthropodes ? Une grosse araignée est-elle "ordinaire" ?

Tant que ton scorpion/araignée géant(e) ne depasse pas la taille du druide, je ne vois pas de problème..

Le problème est bien là. Les grosses bêtes ne sont pas dans le tableau indiqué par Renfield, mais dans le suivant avec le titre "Animaux fantastiques".

Ce sont des créature fantastique "by ze book". Mais après chaque MJ met le curseur au niveau qu'il le souhaite.